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Marie.... si tu savais... (2)
Datte: 28/06/2022, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Le Matou libertin, Source: Xstory
... T’es vraiment une salope... Je vais te saillir comme tu le mérites... D’un seul coup, Jean logea sa bite tout au fond de moi... Je n’aurais pas été en appui sur la rambarde que je me serais affalée en avant tant il y avait mis de l’ardeur... En saisissant mes seins généreux pour faire rouler les tétons, il commença à me copuler, sortant presque à chaque fois pour me pénétrer en force en faisant claquer son bassin contre mes fesses jusqu’au moment où il m’a copieusement inondé la matrice de son foutre... En sentant ces salves, j’ai joui à mon tour dans un grand cri : — Oooouuuiiii ! C’est boooon !!!!! — Oh... pourquoi ne pas m’avoir réveillé ??? — Tu dormais si bien... — C’est de sentir le lit vide qui m’a tiré du sommeil... Laisse-moi goûter le jus qui va s’écouler de ta chatte... — Viens sur le lit... Ici, il fait un peu frisquet... Je ne voudrais pas que tu prennes froid... — Oh... je suis bouillante !!! — Raison de plus ! Jean va nous préparer un petit-déjeuner pantagruélique que nous prendrons sur le lit... T’es d’accord ??? — Oh oui... je sens que ça va être chaud... Je n’aurais jamais cru que c’était si bon de baiser ainsi... — Et encore... il y a mieux... Je ne te fais pas de dessin... — J’imagine... Une partie carrée... ou deux hommes pour une femme ??? — Tout à fait... — Que de temps perdu... J’étais une petite oie blanche perdue dans son village de campagne quand mon crétin de mari m’a fait la cour et pris mon pucelage ...
... au bout de deux semaines... — Ne me dis pas que tu n‘as connu qu’un seul homme ??? Solweig avoua piteusement que c’était le cas... Jusqu’à hier soir, aucun autre homme n’avait posé les yeux sur elle ou tenté un compliment tant son mari veillait jalousement sur elle... Il cachait bien son jeu... Le petit-déjeuner fut un enchantement... Jean avait préparé sur la table roulante des jus de fruits fraîchement pressés, des toasts grillés, diverses confitures et une pleine cafetière d’où s’élevait un parfum que j’aimais bien. Souvent, avant de boire un café, je reniflais l’odeur qui montait de la tasse... C’était comme une drogue et ma secrétaire le savait très bien... Avant toute réunion, elle m’en apportait une grande tasse fumante qu’elle avait concoctée sur une machine achetée presque à mon intention exclusive : nous n’étions qu’un très petit nombre à pouvoir nous y approvisionner... Ce petit-déjeuner fut l’occasion de mieux nous connaître... de bavardages en confidences, nous avons appris que le mari de Solweig l’avait quelque peu enfermée dans une tour d’ivoire : il lui avait interdit de travailler (il avait des moyens confortables) et ne connaissait qu’une vie oisive qu’elle passait en visitant des expositions ou des musées... Parfois, suivant les suggestions de son homme, elle achetait des vêtements qu’elle portait une fois ou deux avant de les reléguer au fond d’une armoire... La seule chose que son homme exigeait d’elle, c’était qu’elle porte toujours des ...