1. Marie.... si tu savais... (2)


    Datte: 28/06/2022, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Le Matou libertin, Source: Xstory

    ... C’est très bon... Tu as trouvé mon point le plus sensible...
    
    — Et mon homme... il te fait du bien lui aussi ???
    
    — Oh oui... je sens sa bite qui va tout au fond de ma chatte...
    
    — Tel que je le connais quand il baise une nouvelle femme, il prend son temps... Savoure ce moment !!!
    
    Je suçais ce bonbon comme une friandise et j’avais en premier plan le sexe de mon homme qui allait et venait dans celui de Solweig. Tantôt, il semblait animé d’une frénésie telle qu’on aurait dit un piston bien huilé... Tantôt, il allait doucement, mais entrait au plus profond à tel point que ses bourses me gênaient pour continuer à honorer notre nouvelle amie...
    
    Soudain, Jean se tétanisa... Je savais qu’il avait atteint le point de non-retour et qu’il s’apprêtait à inonder de son foutre le fond de la chatte de Solweig dont je mordillai le clitoris... Elle jouit aussitôt, ruant comme une cavale rétive, mais comblée.
    
    — Jean... laisse-moi quelques gouttes...
    
    Ce coquin savait ce que je voulais... Ce n’était pas la première fois où, sortant de la chatte d’une femme, je lui demandais de m’offrir les dernières gouttes de sa jouissance...
    
    Mais tous les trois, nous étions repus. J’étais aussi, je l’avoue, fatiguée de mon trajet depuis Paris si bien que désunis, mais proches l’un de l’autre, nous nous sommes endormis, bras et jambes emmêlés... Heureusement que le lit était vaste... Les coquineries que nous venions d’y faire en faisaient un lieu de prédilection...
    
    Le lendemain matin, ...
    ... j’avais encore envie de faire l’amour... mais Jean semblait encore dans les limbes, bien que son sexe présentât une forme très acceptable comme presque tous les matins.
    
    Dormait-il encore comme le faisait Solweig qui, sur le côté, offrait la vision de ses petites fesses à mon regard... Je pensais en moi-même que j’avais bien fait de venir à son secours : Cette panne de voiture était véritablement providentielle et la rupture avec son mari, un élément de plus qui l’avait poussée dans mes bras... N’étais-je pas légèrement bisexuelle ???
    
    A voix basse, Jean me dit :
    
    — Marie, j’ai envie de te baiser...
    
    — Moi aussi...
    
    — Alors... qu’est-ce qu’on attend ??? Viens sur le balcon, l’air frais nous fera du bien...
    
    Nous nous sommes levés sans déranger Solweig qui dormait profondément et nus tous les deux, nous sommes passés sur la terrasse. Comme souvent depuis que nous avions aperçu qu’un voisin nous épiait à la jumelle, je me suis accoudée à la rambarde pour offrir à Jean la vision de mes reins et de mes fesses à laquelle il ne sait pas résister... Le voisin (s’il était là, aurait la vision de mon opulente poitrine agitée des soubresauts que la copulation de mon homme ne manquerait pas de leur imprimer).
    
    Son sceptre d’amour était dressé comme si la perspective de m’embrocher ou même l’éventualité d’être vus l’excitaient. J’avais les coudes en appui sur le haut de la balustrade et d’un geste impudique, j’avais saisi mes fesses entre mes mains pour ouvrir ma fente.
    
    — ...
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