-
Marie.... si tu savais... (2)
Datte: 28/06/2022, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Le Matou libertin, Source: Xstory
Marie si tu savais... Chapitre 2/2. Jean ne se fit pas prier pour venir se coucher entre les deux femmes... Le divan c’est bon pour s’asseoir, mais pour dormir ce n’est pas génial... Cette nuit-là, Marie était totalement désinhibée... Solweig venait de lui offrir une jouissance lesbienne comme elle n’en avait jamais connu... elles cherchèrent ensuite à la partager dans une combinaison classique, tête-bêche, l’une en face de l’autre, mais sur un lit... Repues de jouissances, elles étaient de nouveau dans les bras l’une de l’autre quand Marie aperçut Jean qui les observait par l’entrebâillement de la porte. Sur un signe des deux femmes, il s’approcha et se coucha entre elles en murmurant à l’oreille de sa femme : — Marie... si tu savais... comme je t’aime... Et Jean se tourna vers Solweig pour l’embrasser et caresser doucement ce jeune corps que sa femme semblait vouloir lui offrir. — Oh oui... aime-la... Elle vient de connaître une terrible désillusion... — Explique... — Plus tard... Pour le moment, elle est en manque d’un homme... — Oui... mais je veux aussi te faire plaisir... Viens te mettre en 69 en dessous de moi... Ton homme ne sera certainement pas contre une levrette... J’en avais un peu marre de la traditionnelle position du missionnaire... — Avec Jean, on ne risque pas la monotonie... Tu verras, il est particulièrement inventif lorsqu’il s’agit de baiser une femme... — Si je comprends bien, tu n’es pas la seule et en plus tu me ...
... le prêtes pour un certain temps ??? — Oui... Pour tout le week-end si tu veux et même plus... Vous vous occuperez de la voiture lundi matin... — Oh... t’es un amour !!! J’étais allongée sur le dos et Solweig se mit tête-bêche au-dessus de moi... Une lampe d’ambiance éclairait la chambre... J’avais une vue imprenable sur son entrejambe dont les lèvres étaient finement découpées... son bourgeon d’amour sortait du capuchon et aussitôt, je le gobai entre mes lèvres... — Oh oui... Ce furent ses seules paroles, car Jean venait d’enfourner sa bite dans la bouche notre nouvelle amie. — Suce-moi un peu et ensuite tu vas sentir... Au moment où j’ai senti que Jean s’enfonçait dans le vagin de Solweig, cette dernière a dit : — Oh oui... t’as une bite qui va m’envoyer en l’air... MERCI Marie... Je voyais le sexe de mon mari aller et venir dans celui de Solweig et son bouton d’amour qui pointait en haut de son clitoris. Je me posai la question : mes mains seront-elles suffisantes pour le caresser ou dois-je y mettre mes lèvres... Et bien après quelques secondes d’hésitation, je relevai la tête et je suis venue gober cette excroissance si bonne à goûter et à caresser. Ne suis-je pas moi-même une inconditionnelle de l’autosatisfaction que j’apprécie particulièrement lorsque je suis seule dans un lit... Comme beaucoup de femmes, Solweig ne serait certainement pas insensible à mes entreprises... ce qu’elle me confirma aussitôt : — Oh oui... mange-moi le clito. ...