Mon fantasme de la cinquantaine - Histoires de Sexe

Mon fantasme de la cinquantaine

... passer à la commissure de mes lèvres avant de redescendre le long de mon cou. Ah que c’était bon de sentir sa langue sur ma peau et son membre dur sur mon ventre !

Tout en s’agrippant à moi, il a commencé à glisser vers le bas. Je sentais sa langue sur mon torse, puis sur mon ventre. J’ai senti mon gland qui touchait son menton puis ses lèvres. Comme un hystérique, il frottait ses joues, son front, son visage contre mon sexe. Puis il m’a pris dans sa bouche et là j’ai n’ai pas pu empêcher un « ouiiii » bruyant s’échapper de ma bouche. Il me suçait frénétiquement avec une telle lubricité que j’ai joui.

Des jets de sperme maculaient ses joues et ses lèvres. Il s’est levé et approché son visage du mien. Je tremblais encore et des ondes de plaisir me parcouraient encore le corps. Le voilà qui voulait m’embrasser, je sentais le sperme qu’il déposait avec sa bouche sur ma joue. Je n’en pouvais plus, j’ai pris sa tête entre mes mains et j’ai posé mes lèvres sur ses lèvres mouillées. Nos langues se mêlaient et le sperme passait d’une bouche à l’autre. Nos visages se frottaient et j’ai commencé à sentir le goût du sperme dans ma bouche.

Je n’avais pas débandé et quand j’ai avalé le sperme qu’il avait déposé avec sa langue dans ma bouche, c’était comme si une digue avait cédé. Lâchant sa bouche, je me suis mis à lécher tout le sperme qu’il avait sur le visage et à l’avaler. Maintenant c’est lui qui gémissait. Une de ses mains était posée sur le creux de mes ...

... reins et m’attirait vers lui et de l’autre main il se branlait comme il pouvait.

Maintenant je savais ce que je voulais ; je suis descendu le long de son corps et j’ai pris son membre impressionnant dans ma bouche. Avec la pression de mes lèvres, je fis glisser le prépuce sur le gland. De temps en temps, je sortai son sexe de ma bouche et je le léchais avec voracité. C’était trop bon.

Soudain il a pris son sexe en main et s’est mis à se branler. C’est sur mon visage qu’il a joui. Je me suis mis debout. Je voulais être encore plus salace, encore plus salope. Des deux mains, j’ai étalé son sperme sur tout mon visage et mon cou et j’ai léché mes doigts. Le goût et la texture de son sperme loin de me dégoûter, m’excitaient au plus haut point. Nos lèvres se sont jointes à nouveau. On se bouffait pratiquement nos visages, on se léchait, je l’entourais de mes bras et je le serrais très fort contre moi. Lorsque petit à petit nous nous sommes calmés, je ne voulais pas croire que c’était fini. Je venais de faire l’amour avec mon premier homme et j’en voulais encore.

Nous sommes retournés sous la douche et, avant de nous quitter devant le vestiaire, c’est moi qui lui ai glissé sur un papier mon numéro de téléphone. On s’est donné rendez-vous pour le lendemain à 15 h. En le quittant, je bandais à nouveau et je n’aurais pas dit non s’il m’avait suivi dans ma cabine de vestiaire.

Il paraît que plaisir-là, une fois qu’on y a goûté on ne peut plus s’en passer.