Mon fantasme de la cinquantaine - Histoires de Sexe

Mon fantasme de la cinquantaine

... minutes à nous regarder et à partager à ce petit jeu tout nouveau pour moi. Maintenant j’étais en érection et je prenais du plaisir à le montrer à mon voisin d’en face.

Vers 16 h 30, il y avait de plus en plus de monde qui quittait la piscine et il y avait du monde dans les douches. Il a remonté son maillot de bain, mais sa queue dépassait et il a dû, comme moi, tenir sa serviette devant lui en quittant la douche et en prenant la direction des vestiaires. Je le suivai. Arrivés devant les cabines de toilettes, il s’est retourné vers moi et d’un sourire suivi d’un mouvement de tête, m’a indiqué de le suivre. Je l’ai vu entrer dans la cabine du fond.

Un instant je ne sus que faire, j’étais attiré comme un aimant et en même temps la nouveauté de la situation m’angoissait. C’est à cet instant précis que tout a basculé : comme une automate je suis allé vers la cabine de toilette, j’ai poussé la porte et je suis entré. Il avait quitté son maillot de bain et était tout nu. Il a immédiatement verrouillé la porte avant de mettre un pied de chaque côté de la cuvette de w.c., de coller le haut de son dos au mur au-dessus du réservoir de la chasse d’eau, d’avancer son bassin au maximum et dans cette position obscène, mais ô combien sensuelle, se mettre à se masturber.

— Vas-y, branle-toi, branle-toi, a-t-il chuchoté à voix basse plusieurs fois.

Comme un somnambule, je m’exécutai, j’ai quitté mon maillot et ma serviette que j’ai jetée par terre à côté des siens. Mon dos ...

... appuyé contre la porte, face à lui, j’ai avancé aussi le bassin et commencé à me caresser la queue. Je voulais être aussi obscène et en même temps aussi voluptueux que lui dans mes gestes.

Au bout de quelques minutes, il s’est redressé et a avancé vers moi. La cabine devenait de plus en plus étroite, et je laissais faire sans réagir. J’ai failli gémir lorsque j’ai senti son torse nu coller au mien.

— Lâche ta bite, m’a-t-il chuchoté avant de m’entourer de ses bras et m’attirer à lui.

Nos bites se frottaient et ma respiration était devenue rapide, mon cœur battait fort et j’avais envie de gémir fort pour exprimer mon excitation et mes sensations. Mais au lieu de gémir, j’ai enfoui mon visage au creux de son cou, sa peau était lisse et brûlante. Je frottai mon visage à son épaule et son cou, je humai sa peau. Lui me caressait fébrilement le dos et les fesses et tortillait des hanches pour frotter nos sexes.

J’entrais dans un monde nouveau. Jamais je n’avais senti une telle sensation de luxure et de débauche avec une femme. Nous étions tous les deux en feu de la tête aux pieds et j’aurais renoncé à toutes les femmes du monde pour que ce moment puisse durer. Sa joue était maintenant contre la mienne et il m’entourait toujours de ses bras. Il léchait mon oreille, et descendait dans mon cou. J’avais des frissons qui me parcouraient le corps. J’ai mis ma main sur sa nuque pour l’encourager à continuer. Sa langue passa de mon épaule à mon cou et vint se glisser sur ma joue et ...