En province
Datte: 23/06/2022,
Catégories:
fh,
fplusag,
oncletante,
alliance,
grossexe,
amour,
Masturbation
caresses,
intermast,
Oral
pénétratio,
init,
initiatiq,
Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe
... rien ! Et quand je dis rien, c’est rien. Pas de regards, de paroles, d’allusions, de bisous dans les coins ou de tripotages entre deux portes. Tu sais… je n’ai pas épousé ton père pour l’argent ni le confort. Mais aujourd’hui, je n’ai plus de boulot ni de toit s’il me met dehors. Et comme il est très intelligent, à la moindre gaffe il aura vite fait de comprendre. Tu ne veux pas me faire ça, hein ? Et puis même si nous n’avons plus de rapports, je lui suis très attachée. Je l’ai vraiment aimé.
— Promis, je vais essayer d’être exactement comme avant. Et moi ? Tu m’aimes aussi ?
— J’ai beaucoup d’affection pour toi. Tu m’as acceptée chez toi avec gentillesse, tu as toujours été sympa et tu n’as jamais créé de problèmes. Mais je te le répète, aujourd’hui je ne suis amoureuse de personne, sauf peut-être un peu de ta queue. Ha-ha-ha !
— Elle voudrait tant que tu le lui montres…
Et c’est reparti, Béa à genoux en pompe à vide, puis à cheval sur moi, puis à plat dos sur la table et enfin s’offrant une crème pour dessert.
— Bon, allez, cette fois je me rhabille, je nettoie et j’aère et je sors mettre mes savates à la poubelle. Et toi, tu te laves, tu t’habilles et tu révises. Ce ne sont pas les vacances, c’est juste un jour de grève. OK ?
— Oui chef ! Merci Béa, je me sens… un homme maintenant.
— Mais tu l’es mon grand. Et je suis ravie que ce soit grâce à moi, parce qu’on n’oublie jamais la toute première fois. Toute ta vie, tu te souviendras de moi.
Père rentre, ...
... grognon et fermé comme à son habitude, je m’applique à ne rien changer aux miennes, même si je m’autorise de temps en temps un regard cupide sur les formes de ma maîtresse. Les jours scolaires, aucune relation n’est possible. J’ai courageusement pris toutes les options disponibles, latin, grec, chinois, sport, préparation aux classes préparatoires (si, si ! !) et je ne termine pas avant dix-huit heures. Le temps de faire le trajet en bus, voire omnibus, il est presque dix-neuf heures quand j’arrive, quelques dizaines de minutes avant mon père. Et les week-ends, pire encore, il est toujours là, trop fatigué pour avoir une quelconque activité, chasse, pêche, sport… Rien ! Il travaille sur des dossiers, regarde la télé vautré dans le canapé où, parfois, tond la pelouse. En fait, il entretient l’embonpoint qui le gagne.
C’est incroyable comme le fait d’avoir les couilles pleines à craquer peut jouer sur le mental. Je deviens plus agressif, plus nerveux. La masturbation ne m’intéresse plus, Béa m’a ouvert à un monde nouveau peuplé de sensations inédites. Quand je rentre, je file droit à ma chambre, évitant de la croiser, de peur que ce bref contact ne me redonne des envies inassouvies. Elle pense peut-être que je vais me branler, même pas. J’attends avec impatience les vacances de Toussaint pour avoir enfin accès à ma dulcinée. En attendant, je me réfugie dans le boulot, jusqu’à l’abrutissement. Je ne vais me coucher que lorsque les dates, les formules et les noms propres dansent la ...