En province - Histoires de Sexe

En province

... du bassin, elle progresse petit à petit le long de mon mât jusqu’à ce que ses fesses m’écrasent les couilles.

— Ah ! Ça y est, je suis à fond. Putain tu me remplis jusqu’aux amygdales.

J’en profite pour saisir ses gros seins dans mes mains, elle commence à se soulever et se laisser retomber doucement en haletant à chaque fois. L’exercice semble encore un peu pénible, mais c’est elle qui maîtrise. Enfin, elle semble parfaitement à l’aise et entame une chevauchée fantastique, en appui sur ses genoux. Alternant montées et descentes avec basculement du bassin d’avant en arrière, les yeux dilatés et le souffle court, elle profite pleinement de l’aubaine.

— Rhôôôhhh ! Tu as vu ? Quand je me soulève mes petites lèvres restent collées à ta queue tellement tu les dilates. Tu me retournes la chatte comme un doigt de gant… Je vais jouir, mon Loulou, je vais jouir…

Une charge de la brigade légère plus loin, elle miaule comme un chat qui se coince la queue dans la porte et s’agite de soubresauts qui se propagent dans mon mât, accompagnés de contractions délicieuses. Elle retombe sur ma poitrine, râlant d’un sain épuisement.

— Tu veux bien me donner tes fesses ? J’en ai trop envie…
— Tout ce que tu veux, mon Jérôme. Putain, ce pied après des années de désert ! Mais fais doucement quand même, ta place est faite, mais tu pourrais encore faire des dégâts, ça va loin en levrette…

Oh le beau fessier ! On dirait une énorme poire épluchée, à la chair blanche et douce dont on ...

... aurait juste laissé l’emplacement de la fleur, touffe sombre dans laquelle je me précipite. Surprise, une kyrielle de petits pets humides accompagne la pénétration de mon piston. Je sens bien le fond sur mon gland, que je repousse doucement ce qui la fait de nouveau haleter. Je saisis ses hanches tendres, comme je l’ai souvent vu faire dans les pornos. Mais cette fois, c’est en vrai, c’est mon porno à moi, et qu’est-ce que c’est bon, qu’est-ce que ça m’excite, avec la femme que j’ai tant désirée. Je m’y jette comme un fou, pour entendre ce « floc-floc » contre son cul généreux.

— Doucement, Jérôme, dou-ce-ment ! Prends ton temps, j’vais pas me sauver. Pense que tu n’es pas seul, que j’ai envie de jouir aussi. Et les femmes mettent plus de temps que les hommes. Alors, va doucement, profite, prends-moi les seins, fais-moi poser la tête comme ça, fais-moi redresser comme ça… Faut tout essayer, mon grand, tu as le temps, ne te précipite pas avec la seule idée de te vider les couilles. Tiens, je vais les attraper pour augmenter ton plaisir, comme ça…

Oh purée ! Ça, c’est génial aussi. Je me penche sur elle pour lui pétrir les seins, elle se pose sur une joue pour me triturer les joyeuses. Fabuleux ! Variations en levrette majeure, on essaye tout, enfin elle essaye tout et je la suis. Jusqu’au moment où elle se met à brailler :

— Oh oui ! Oh oui ! Là, vas-y ! Donne tout ! Défonce-moi ! Et crache ta purée dans ma chatte !

Faut pas le dire deux fois, je passe en vitesse ...