1. En province


    Datte: 23/06/2022, Catégories: fh, fplusag, oncletante, alliance, grossexe, amour, Masturbation caresses, intermast, Oral pénétratio, init, initiatiq, Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe

    ... supporter. Elle a pris un peu d’embonpoint ces derniers mois, la perspective de me voir partir de la maison et de se retrouver seule, surtout seule avec mon père, m’avoue-t-elle un jour. C’est donc plus généreuse de formes que jamais que je lui fais porter des maillots-ficelles absolument torrides qui disparaissent entre ses fesses profondes.
    
    — Quoi ? Tu t’en fous, personne ne te connaît et puis avec tes lunettes noires et ton chapeau…
    
    Ce premier pas franchi, ce fut au tour des petites robes d’été en cotonnade légère, vaguement transparentes à contre-jour qu’elle accepte de porter sans rien dessous.
    
    — Mais tu crois que c’est joli, mes gros seins qui tombent ?
    — Mais non, ils ne tombent pas. C’est vrai qu’ils sont gros et très beaux, normal qu’ils subissent la loi de la pesanteur. Et si tu savais comme c’est excitant de les voir ballotter à chaque pas.
    — Bon… C’est bien pour te faire plaisir que je le fais… Mais pas de culotte, je risque de tacher ma robe si je m’assois.
    — Et tout le monde verra que tu mouilles très fort pour l’homme que tu as à ton bras.
    — Pfffff !
    
    En fait, elle s’aperçoit vite du regard lubrique que les hommes portent sur elle lorsqu’elle sort ainsi accoutrée. Elle prend conscience qu’il y a peut-être encore une vie possible loin d’Edmond et de la queue de son fils. Elle finit par accepter quelques clichés autres que les souvenirs de vacances, quand je la convaincs que sa chatte, son cul ou ses seins, sans le visage, peuvent être les ...
    ... attributs de n’importe qui, anonymes et non compromettants.
    
    — Et puis j’en aurai besoin, tout seul à Paris, pour me masturber en pensant à toi…
    
    Non seulement elle accepte, mais elle y prend visiblement un plaisir certain, m’obéissant au doigt et à l’œil pour prendre des poses, et se précipitant pour en voir le résultat.
    
    — Oh ! Je suis vraiment trop grosse. C’est décidé, dès qu’on rentre je me mets au régime.
    — Non, tu es appétissante, ce n’est pas pareil. On te boufferait à pleine bouche ! D’ailleurs, c’est ce que je vais faire…
    
    Edmond revient nous chercher, juste le temps de s’enquiller un énorme plateau de fruits de mer avec une boutanche de Muscadet. Une fois rentrés, je suis « convoqué » dans son bureau, à la maison bien sûr. Il me remet solennellement un carnet de chèques et une carte bancaire, accompagnés de cet avertissement :
    
    — Mon garçon, ton compte sera alimenté par un virement automatique de mille cinq cents euros, estimation de ta tante sur le coût de la vie parisienne, tous les premiers du mois. À compter de ce mois, avance pour frais de scolarité. Tu te débrouilles comme tu veux, mais tu ne dépasses pas, je ne mettrai pas un centime de plus. C’est compris ?
    — Oui père. Cependant il y a un petit détail, la chambre que je vais occuper chez ma tante n’est meublée que d’un lit et d’un portant. Il me faudrait au moins une armoire pour ranger mes affaires, un bureau et une chaise confortable pour travailler.
    — Fffffffff ! Bon, les motifs étant justifiés, je ...