En province
Datte: 23/06/2022,
Catégories:
fh,
fplusag,
oncletante,
alliance,
grossexe,
amour,
Masturbation
caresses,
intermast,
Oral
pénétratio,
init,
initiatiq,
Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe
... futal, et mon engin cherche désespérément à passer par-dessus les limites de sa prison, mais bute à s’en faire mal contre ma ceinture. Elle ne peut pas ne pas le sentir, et je suis pris d’une gêne soudaine. Je la repose à terre et file vers notre alcôve où j’avale mon Martini d’un trait.
— Qu’est-ce qui se passe, mon chouchou ? Quelque chose ne va pas ?
— Si si, ça va… Mais je préfère rentrer…
— Chouchou, si c’est parce que le frotti-frotta t’a fait de l’effet, c’est pas grave. Je sais, je suis un peu ta tante. Mais avant tout, je suis une femme et toi tu es un vrai homme maintenant. Que tu aies cette réaction, c’est normal, c’est bien même, ça veut dire que tu n’es pas fait pour l’étage au-dessus.
— Ouais, mais bon… j’ai un peu la honte et puis… j’ai la chose douloureuse, si tu veux tout savoir.
— Pauvre chéri. Viens, tu vas prendre une bonne douche et ça ira mieux.
Marcher à l’air frais me fait du bien, ça calme. Putain Paris, c’est vraiment plein d’endroits zarbis, c’est vrai qu’on n’a pas ça en province. Faut-il le regretter ? Pas sûr. On arrive à son immeuble, digicode, ascenseur avec son omniprésent miroir, elle est toujours lovée contre moi.
— Il a raison, Herbert. On fait un joli couple tous les deux. Tu trouves pas ?
— Si, sûrement, dis-je en rougissant…
— Parle-moi de tes conquêtes. Un beau garçon comme toi, tu dois faire des ravages ?
— Oh, rien à dire… Des flirts sans lendemain… Et puis j’ai pas le temps, je bosse.
— Comme moi, tu sais, mine ...
... de rien je suis au boulot comme dans le reste : à fond les manettes. Alors il ne me reste pas beaucoup de temps pour la bagatelle. Une fois de temps en temps pour l’hygiène mentale… J’ai un copain que je vois plus régulièrement, un pilote de ligne canadien, enfin québécois. C’est pratique, il n’est pas là trop souvent, il est marié, il ne me colle pas. Juste un coup en passant. Vas-y, entre… Et puis il me fait rire avec son accent à couper au couteau… Le lit est fait, j’espère que tu seras bien, il n’a jamais servi. Tu as besoin de quelque chose ?
— Je prendrais bien une douche, si tu permets. Toute cette fumée dans la boîte, les odeurs de cuisine au resto, cet air pollué dehors…
— Pas de souci, tu sais où ça se trouve. Tu m’aurais demandé un bain, ç’aurait été plus difficile, vu que j’ai fait remplacer la baignoire par une grrrande douche à l’italienne avec des jets pulsés dans tous les sens, tu verras. Amuse-toi, ça fait du bien, ça détend.
Qu’est-ce qu’elle parle, elle me saoule ! Mais elle est adorable. Je me déloque et je vais à la salle d’eau tranquillou. C’est vrai que c’est petit, comme souvent à Paris. Quatre mètres carrés, la douche en occupe deux, un lavabo au fond et une patère derrière la porte pour les vêtements, mais ça suffit. En revanche, la douche paraît immense avec sa double porte transparente, une grande plaque trouée au-dessus et un engin programmable dans un angle avec plein de becs de karcher. Y a même un petit siège rabattable, pour les vieux ...