1. Comment je suis devenue la salope de la cité ... (3)


    Datte: 23/06/2022, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: hélène75, Source: Xstory

    ... s’exécute et mes yeux ne peuvent pas quitter sa longue queue qui se dresse vers le ciel comme une fusée. Nul besoin de me le dire, je grimpe sur le canapé et m’empale sur cette superbe bite qui va m’emmener au septième ciel. C’est bien ce que je pensais, sa queue est nettement plus longue que celle de son copain. Son gland cogne au fond de ma chatte et j’ai l’impression qu’il va me transpercer de part en part. Je penche le buste vers l’avant, appuie mes mains sur son torse et commence à onduler du bas-ventre. C’est un vrai régal de le sentir planté si profondément en moi !
    
    Soudain, je sens les mains de Mohamed qui m’enserrent la taille et m’immobilisent. Son gland se frotte déjà à ma petite rondelle lorsqu’il lance à son copain
    
    — Tu vas voir, elle va bientôt gémir comme une chienne en chaleur !
    
    Contrairement à la fois précédente, il réussit à m’enculer sans difficulté. Il faut dire que je suis moins contractée, plus demandeuse devrais-je dire. Et comme j’ai usé de mon godemiché ce week-end, le passage est bien plus accueillant que lors de nos ébats dans l’ascenseur. J’ai vraiment l’impression d’être éventrée mais cette découverte de la double saillie est une vraie révélation. Tous mes sens sont excités, j’ai les seins gonflés et les tétons tendus comme jamais, mon bas-ventre ainsi que ma croupe sont envahis d’une délicieuse chaleur. Je garde les yeux fermés pour mieux m’imprégner de tout ce plaisir qui irradie dans tout mon corps. C’est la première fois que je ...
    ... ressens cela et je mesure combien j’ai été naïve pendant de si longues années de penser que le plaisir ne réside que dans les étreintes physiques visant à la procréation. Quelle gourde j’ai été si longtemps !
    
    Cela fait une bonne heure que nous copulons comme des animaux dans cette cave. De temps en temps, Mohamed sort son téléphone portable et fait quelques photos. Qu’importe ! Je ne compte plus les orgasmes que ces deux jeunes mâles m’ont donnés. Comme annoncé par Mohamed, je gémis de plaisir et j’en redemande
    
    — Oh oui, c’est bon !
    
    — Oui, baisez moi bien avec vos grosses queues !
    
    — Donnez moi tout votre foutre ! Vite !
    
    Tout en continuant à me besogner à grands coups de boutoir, les deux copains échangent leurs commentaires
    
    — Quel cul de salope !
    
    — Sa chatte est encore plus chaude que sa bouche !
    
    — Ça doit faire longtemps que son mec la baise plus !
    
    — Oh la pute, elle aime ça !
    
    Me faire injurier ainsi par ces deux jeunes mâles contribue à décupler mon plaisir. Oui, je dois bien l’avouer, cela me plait d’être traitée ainsi, comme une vulgaire catin et comme un objet de plaisir.
    
    Leurs deux queues cognent l’une contre l’autre au fond de mes entrailles et j’ai l’impression que ce n’est plus qu’une longue bite qui coulisse à travers moi. Enfin, voilà leur foutre qui se répand en moi, qui m’inonde comme un torrent bouillant. Les deux jeunes exultent
    
    — Oh quel pied !
    
    — Oui tu l’as dit mon frère ! C’est un sacré coup !
    
    — Ça faisait longtemps que je ...
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