1. Au beau temps des guerres en dentelles et des libertins


    Datte: 19/08/2018, Catégories: fhh, uniforme, entreseins, Oral pénétratio, Partouze / Groupe fdanus, fsodo, historique, initfh, Auteur: André 59, Source: Revebebe

    ... bien regarder simplement. À vous de choisir. Aucun de ces messieurs ne vous en tiendra rigueur.
    — Excusez-moi. Finalement, je préfère partir. Je vous laisse entre gens d’expérience.
    
    Elle fait une révérence et sort du salon.
    
    — Très bien. Messieurs, je vous invite à me rejoindre dans ma chambre ; nous nous y mettrons plus à l’aise. Mes gens ont rejoint les communs ; nul ne viendra plus nous déranger.
    
    Avec dignité, nos deux officiers se rajustent et partent d’un pas léger vers les appartements de Madame dont la silhouette gracieuse ouvre le chemin dans le couloir.
    
    On ne se représente pas aujourd’hui ce que voulait dire délacer un corset au XVIIIe siècle ; William et François doivent faire preuve d’une réelle abnégation, mais cela vaut la patience d’attendre. François en particulier ne peut détacher son regard du triangle de feu entre les cuisses d’Elizabeth. Lorsqu’elle les invite à la rejoindre, ils savent que ce sera un des moments qui marquera leur vie.
    
    Catherine, elle, s’est assoupie dans une douce torpeur favorisée par le feu ronflant dans la cheminée de sa chambre. Quand elle ouvre les yeux, elle se tient sur les bords du rivage, tenant la main d’Elizabeth. L’aube se lève, et une immense pirogue à balancier s’approche. Une foule énorme se tient en bord de mer. Les gens crient, chantent, dansent. Aux tambours européens répond le mugissement des conques marines. William et François se tiennent devant elle en grand uniforme, l’épée à la main. Le vent fait ...
    ... claquer les drapeaux à fleurs de lys et agite les panaches des chapeaux à trois cornes. Lorsque l’embarcation aborde la plage, des guerriers couverts de tatouages, armés de lances en bambou et de casse-têtes, vêtus de capes de plumes, sautent sur le sable et se dirigent vers eux. Ce sont des Tahitiens. Il y a de grandes démonstrations d’amitié, puis Elizabeth fait un signe. Ils approchent, l’air farouche. Catherine réalise alors qu’elle-même est entièrement nue. Seul un collier de fleurs cache en partie sa poitrine. Elle est l’offrande qui leur est destinée.
    
    Elle est maintenant couchée sur une natte, sur le dos, bras et jambes largement écartés. Dans chacune de ses mains, il y a la verge érigée d’un guerrier ; elle veut parler, mais sa bouche est envahie par un autre phallus cognant contre son palais, et surtout elle sent qu’un sexe, énorme, essaye d’entrer en elle. Pourtant, elle n’éprouve aucune peur, aucune douleur. Au contraire, c’est une immense plénitude. Elle semble flotter ; c’est peut-être cela, l’extase. Le gland, brûlant, commence à frayer son chemin dans le friselis de ses poils blonds et à écarter ses chairs les plus intimes pour bientôt plonger en elle. Dans le même temps, un pouce large et charnu cherche à s’immiscer dans son fondement qu’elle essaye pourtant de serrer, mais la maîtrise de son corps lui échappe complètement.
    
    Le sexe dur descend maintenant jusque dans sa gorge et, les yeux fermés, elle penche la tête en arrière pour qu’il aille encore plus ...
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