L'aide à domicile ramène sa facture - Histoires de Sexe

L'aide à domicile ramène sa facture

... un véritable état second, excitée à la fois par sa démonstration devant l’infirmier et sexuellement avec ces deux gros testicules dans la main.

— Il faut vous masturber Mr X, commencez tout de suite.
— Maintenant, devant vous deux.
— Oui, oui… On vous regarde et allez-y vigoureusement.

Mr X s’exécuta et se branla devant ses deux professionnels.

— Moi, je ne les trouve pas très gonflées.
— C’est parce que vous vous êtes habitué à leur forme depuis 15 jours, qu’en pensez-vous Mr L’infirmier, est-ce que vos testicules sont gonflés comme cela ?
— Non, je ne pense pas.
— Vous avez l’air sceptique, Monsieur X.
— Oui, un peu.

Elle sentait déjà dans son entrejambe que sa fontaine commençait à suinter dangereusement.

— Mr L’infirmier, pourriez-vous faire voir vos testicules à Mr X.
— C’est gênant.
— C’est uniquement pour qu’il puisse comparer de lui-même, je me retourne pendant ce temps.

Sylvie se retourna immédiatement, et l’infirmier commença à baisser son pantalon, puis descendit pudiquement son slip. Il déballa alors un superbe engin bien plus imposant que celui de Mr X qui se sentait un peu complexé.

Mr X interpella Sylvie qui était retournée.

— Elles sont aussi grosses que les miennes !
— Ce n’est pas possible, je sais faire la différence avec des testicules anormalement gonflés.
— Regardez, si vous ne me croyez pas.

L’infirmier était devenu tout rouge de honte.

Sylvie se retourna un peu pour vérifier cela et elle eut un moment de ...

... surprise, cela tournait dans sa tête.

« Oh là là ! La taille de cette queue au repos et ces deux gros testicules qui vont avec, elle est encore plus grosse que celle de mon mari. »

Après l’effet de surprise, elle s’exclama :

— Ah oui quand même.
— Vous voyez ce que je vous disais.
— Euh oui… mais ce n’est pas la même chose, ce sont deux belles paires de testicules, je n’en ai jamais vu de si grosses en vrai.

Soudain, alors que tout le monde était silencieux, ils entendirent comme une énorme goutte d’eau qui tombait au sol. Tous les regards se portèrent vers Sylvie, quelque chose venait de couler au sol entre ses jambes.

Mr X qui se masturbait toujours, dit :

— Il me semble que vous avez perdu quelque chose, Sylvie.

Sylvie venait d’avoir une lâchée de cyprine, sa petite fontaine était un peu trop excitée, les regards des deux hommes étaient fixés sur son entrejambe.

— Excusez-moi, je suis confuse, je ne sais pas ce qui se passe, il faut que je nettoie ça.
— Je le sais moi, approchez-vous !

Sylvie n’osa pas avancer, Mr X se leva, se branlant toujours et leva sa jupe droite laissant apparaître toute son intimité.

— Ah ! je comprends mieux, elle n’a pas de culotte cette salope et elle est encore inondée comme la fois dernière.

Sylvie comprit avec les mots crus de Mr X qu’elle avait perdu la main et qu’elle était à leur merci.

Mr X approcha sa main entre ses cuisses et entra ses quatre doigts jusqu’à la garde.

— Eh bien, ça… c’est de la mouille ...