Camille et les cours (très) particuliers de son fils (6) - Histoires de Sexe

Camille et les cours (très) particuliers de son fils (6)

... plus que jamais d’humeur badine.

A sa surprise, elle ne trouva pas son mari dans leur chambre. Elle descendit au rez-de-chaussée et tomba sur Guillaume en train de grignoter une tartine de pain, dans son costume de travail :

– Tu as oublié que nous étions, samedi ?

– Tu ne m’écoutes pas quand je te parle, Camille. Je t’ai dit que je devais aller au bureau, ce matin.

Elle n’en avait en effet aucun souvenir. Mais elle le trouvait excitant dans son beau costume de requin de la finance. Elle vint se coller à lui et posa sa main sur son entrejambe :

– J’espère que tu n’es pas trop pressé…

– Malheureusement, si, je suis déjà en retard, là, dit-il en jetant un œil pressé sur sa rolex.

– Oh, j’ai tellement envie d’un petit-déjeuner au sperme… minauda-t-elle en accentuant sa pression sur le membre viril de Guillaume qui enfla aussitôt.

– Ce serait avec plaisir mais je n’ai vraiment pas le temps. On peut peut-être y réfléchir pour le goûter, proposa-t-il en guise de conciliation, tout en se dégageant.

Il lui embrassa la joue, récupéra sa pochette d’ordinateur sur une chaise et sortit.

Camille se sentit frustrée et vexée. Elle était persuadée que ce salaud allait s’envoyer une de ses pétasses du bureau et que c’est pour ça qu’il ne voulait pas griller ses cartouches avec elle. Elle traversa le salon, jeta un regard rêveur sur le canapé où, la veille, son propre fils s’était fait, sous ses yeux, sucer par sa professeure de mathématique. Elle sentit son ...

... désir redoubler. Ah, comme elle eut aimé que Mme Prunel arrive à l’improviste, à cet instant précis, mais c’était irréaliste. Elle était seule, seule avec son désir débordant. Elle remonta alors précipitamment à l’étage et se dirigea d’un pas décidé vers la salle de bain. Elle récupéra le mouchoir usagé dans la poubelle, le déplia avec prudence et contempla le sperme qui s’y trouvait. Elle approcha lentement son index et récupéra un peu de foutre au bout de son doigt. De nouveau, elle l’examina, le sentit, en éprouva la consistance en venant coller son pouce contre la pulpe de son index. Soudain, elle plongea les deux doigts dans sa bouche et les lécha avec application. Elle aimait cette amertume, cette consistance irrégulière. Elle repensait à Mme Prunel qui n’en avait pas laissé une goutte. Alors, Camille ouvrit son chemisier en grand, dégagea ses seins de son soutien-gorge. Elle les caressa en se contemplant dans le miroir. Mais, ce n’était pas encore assez. Elle baissa son pantalon et sa culotte puis glissa une main entre ses cuisses. Elle avait ainsi l’air d’une vraie chienne en chaleur. Son pubis, parfaitement épilé, présentait un ticket de métro de poils châtain foncé. Elle reprit le mouchoir dans sa main, le porta à ses narines. L’odeur était forte, terriblement excitante. Elle y plongea deux doigts et en ramena une bonne quantité de sperme qu’elle contempla un instant. Elle reprit sa masturbation de son autre main, tout en fermant les yeux pour s’imaginer en train de ...