Camille et les cours (très) particuliers de son fils (6) - Histoires de Sexe

Camille et les cours (très) particuliers de son fils (6)

... entrain, sous le regard fasciné de Camille et les râles de plaisir du jeune homme. Celui-ci ouvrit un instant les yeux pour être sûr qu’il n’était pas en train de rêver. Il vit sa prof de math en train de lui administrer une pipe magistrale sous l’œil attentif de sa mère : c’était fou et il en banda de plus belle. Mme Prunel lui jeta alors un regard provocateur, tout en le branlant énergiquement. Elle remit ensuite sa bite en bouche et croisa de nouveau le regard de Camille, ce qui l’excita énormément. Elle aurait aimé pouvoir se caresser mais n’osa pas aller jusque-là. Camille sentait de son côté que sa culotte s’humidifiait. Tout ceci ne dura néanmoins pas très longtemps. Baptiste se mit soudain à s’agiter et à grogner irrépressiblement. Comprenant ce qu’il se passait, Mme Prunel conserva précautionneusement le gland dans sa bouche et reçut presque aussitôt des giclées de sperme tiède sur la langue et le palais. Quand les spasmes furent calmés, elle laissa enfin échapper le sexe qui tressautait encore. Elle éprouva un instant la consistance et le goût de ce foutre dans sa bouche puis l’avala sans cérémonie, sous le regard médusé de Camille. Elle passa encore des coups de langue sur le gland, pour nettoyer les quelques reliquats de jouissance, puis replaça délicatement le sexe de l’adolescent dans son boxer. Après cela, elle se redressa et dit gentiment à son élève :

– Je crois que tu peux remettre ton pantalon, maintenant.

Baptiste s’exécuta mais sans précipitation, ...

... un peu dans un état second. Camille restait, elle, sagement sur sa chaise, masquant autant que possible son émoi. Elle avait à cet instant une terrible envie que Mme Prunel l’embrasse à pleine bouche, et qu’elle mette la langue, et que leurs salives se mélangent. C’était la première fois qu’elle imaginait ce genre de choses avec une femme. Néanmoins, rien de tel n’était évidemment possible en la présence de Baptiste et, de toute façon, Camille n’oserait jamais avouer cela à Mme Prunel. Elle espérait, plus modestement, avoir droit à son baiser d’au revoir, si chaste fut-il, qu’elle lui faisait parfois les jours de récompense. Était-ce lié ? Était-ce sa récompense à elle ? Si oui, que devait-elle faire pour la mériter ? – Elle ne connaissait aucune des réponses à ces questions.

Mme Prunel était particulièrement souriante ce soir-là. Elle expliqua à Camille que le test était très difficile et qu’une note de 43 était vraiment un excellent résultat. Elle était de ce fait très satisfaite et confiante pour la suite. Camille aurait aimé lui parler de la manière dont elle avait vécu la récompense du jour mais le sujet ne vint pas dans la conversation. Elles convinrent seulement de régler dès le lundi suivant le programme, ô combien important, des semaines à venir. Au moment de se quitter, Mme Prunel se fit un peu solennel :

– Nous sommes dans la dernière ligne droite, Camille. Ce n’est pas le moment de se relâcher, au contraire, il faut aller jusqu’au bout.

– Vous avez raison, ...