1. Nicaline ou l'histoire d'une jeune femme de notre temps


    Datte: 19/08/2018, Catégories: fh, frousses, rousseurs, couplus, voisins, fépilée, campagne, magasin, amour, volupté, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme Masturbation intermast, Oral pénétratio, Partouze / Groupe fsodo, uro, Auteur: Nicolas, Source: Revebebe

    ... pour elle. La jeune femme en question avait travaillé plusieurs années dans le service commercial d’une entreprise lyonnaise avant de suivre son mari dans le département voisin et d’y retrouver une situation équivalente. Puis elle avait quitté son travail et le département deux ans auparavant pour venir habiter à 10 Km environ de chez Pierre. Son CV n’indiquait aucune raison à ce départ. Depuis elle ne travaillait pas. Dans sa lettre elle indiquait qu’elle serait chez elle tout l’après-midi, Pierre décida donc de l’appeler. Le téléphone sonna deux fois
    
    — Aline Gambier, bonjour
    — Pierre Sorem, bonjour, j’ai reçu votre fax et je voudrais vous voir. Êtes-vous disponible cet après-midi ?
    — Oui cela peut se faire, à quelle heure souhaitez-vous que je vienne ?
    — 17H30 ça vous ira ?
    — Bien sur.
    
    Pierre expliqua où se trouvait l’agence.
    
    — Vous n’aurez pas de mal à garer votre voiture, l’agence dispose d’un parking, lorsque vous serez sur la place, tournez à droite devant la pharmacie, puis juste après, à droite à nouveau vous verrez une cour, c’est là. Entrez par la porte blanche. Ne vous trompez pas la beige c’est celle de la pharmacie. Mademoiselle Leloir est sympa, mais elle serait surprise de vous voir entrer comme ça chez elle !
    — Bien compris la porte blanche. 17h30. Comptez sur moi, je serai à l’heure.
    — O.K. à bientôt.
    — À tout à l’heure.
    
    Pierre raccrocha et se mit à penser à Mireille Leloir. C’est vrai qu’elle était sympa. Il en savait quelque chose. ...
    ... Pendant quelques mois, ils avaient pris du bon temps tous les deux. Puis ils s’étaient séparés, l’un comme l’autre ne souhaitant pas trop s’investir à ce moment-là dans une vie de couple constituée et définitive. Il leur arrivait encore de partager un week-end, souvent lorsque Mireille était de garde. Toujours pour leur plus grand plaisir.
    
    Il lui revint en mémoire le début de leur aventure, peu de temps après qu’elle eut racheté la pharmacie. C’était la première fois qu’elle était seule dans l’officine, l’ancien propriétaire était parti définitivement, elle était enfin seule maîtresse à bord. Ils se connaissaient un peu, elle avait été présentée par son prédécesseur lors du pot qu’il avait offert à ses voisins et amis pour arroser son départ en retraite. Elle avait remarqué ce grand garçon brun, assez baraqué, toujours souriant, qu’elle croisait parfois le matin sur le parking commun à la pharmacie et à l’agence. Elle avait vu une fois aussi sa photo dans le journal local un lendemain de victoire de l’équipe de rugby du pays, dont il était le capitaine. Elle avait apprécié en connaisseuse le mâle qu’il était. Mais, s’était-elle dite à l’époque : « le boulot d’abord ma fille, on verra pour la bagatelle plus tard. »
    
    À vingt-cinq ans, études finies, elle avait fait quelques remplacements dans différentes villes un peu partout en France. Lors de ces déplacements, elle n’était pas restée chaste plus que de raison. Il se trouvait souvent quelqu’un ou quelqu’une avec qui elle avait ...
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