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Nicaline ou l'histoire d'une jeune femme de notre temps
Datte: 19/08/2018, Catégories: fh, frousses, rousseurs, couplus, voisins, fépilée, campagne, magasin, amour, volupté, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme Masturbation intermast, Oral pénétratio, Partouze / Groupe fsodo, uro, Auteur: Nicolas, Source: Revebebe
... l’autre. Il s’appliquait à maintenir sa verge au contact de l’anus de sa maîtresse, donnant des petits coups de son gland sur l’anneau qui petit à petit se desserrait et semblait vouloir accepter la pénétration. Le cheval était dans un état d’excitation extrême. Son sexe avait atteint une dimension phénoménale aux yeux de Mireille qui ne le quittait plus du regard. Elle semblait hypnotisée par ce membre hors du commun, pour un humain en tout cas, elle déplaça ses mains et prenant ses fesses les écarta tant qu’elle pu. Pierre devina plus qu’il n’entendit le « prends-moi là, maintenant » qu’elle articula à peine. Il poussa un peu plus fort et son gland franchit le tendre barrage. Mireille poussa un petit cri. — Je te fais mal ? — Oui… non…, un peu … mais continue je t’en supplie. Viens, enfonce-toi, je te veux tout entier. Il ne fallut pas le lui dire deux fois. Il reprit sa poussée et sa progression, sans arrêter pour autant de caresser le sexe de son amante. De son côté l’étalon avait sauté la jument. Il était profondément entré en elle, qui ne bougeait plus du tout comme tétanisée par les coups de boutoir qu’elle recevait. Cette scène avait sur Mireille des effets complètement délirants. Elle se mit à bouger le cul comme une folle. Les mains ouvrant ses fesses au maximum de ce qui était possible elle favorisait la pénétration de son compagnon. Celui ci s’activait tant qu’il le pouvait. Il avait été obligé de lâcher le sexe ruisselant qu’il caressait jusque-là et ...
... tenait maintenant les hanches de son amie. Celle ci tendait son postérieur, comme pour faire pénétrer encore plus loin le dard qui la fouillait. Les deux couples suivaient le même crescendo et les mâles prirent leurs plaisirs simultanément. Les cris de jouissance des humains se confondirent avec les hennissements des deux équins. L’écho de ces cris mélangés se propagea dans la nuit, formidable hymne à la vie et à l’amour, témoin à travers les temps de l’universalité du désir. Toujours encastrés l’un dans l’autre Pierre et Mireille récupéraient de la violence de leur passion, pendant que l’étalon flattait de sa tête l’encolure de la jument. Une douce somnolence s’empara des deux humains qui se laissèrent glisser dans un demi-sommeil réparateur. La fraîcheur relative de la nuit les en tira un peu plus tard. Mireille se dégagea et sentit à regret le sexe de Pierre quitter son corps. Elle se concentra sur cette sensation et ressentit une sorte de plaisir doux lorsque son sphincter distendu se referma. Elle se tourna, et se blottit au creux des bras de son amant. Rassasiée, repue d’amour et d’émotions fortes, elle lui prodiguait des petits baisers partout sur le visage. — Je crois que je ne voudrai jamais plus un autre homme que toi. Personne ne me fait cet effet-là. Je ne me pose même plus la question, je suis sûre que je t’aime. — C’est grave ce que tu dis là. Tu te rends compte ? — Oui c’est un peu comme une demande en mariage. — Oh, oh c’est un complot avec Françoise ...