à Saint-Geôly
Datte: 13/06/2022,
Catégories:
ff,
ffh,
fffh,
amour,
revede,
Oral
pénétratio,
couple,
Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe
... plus en plus fréquemment à la surveillance des travaux qui en sont aux finitions. Ce que Marie-Jo avait imaginé a fière allure, entre proue de bateau et pont suspendu, l’allure du bâtiment est très marine et bien intégrée au paysage. Seul le côté de l’entrée, dévoilant l’ancienne casemate, est assez imposant en hauteur. Entre peinture et parement, on opte pour garnir le béton de briquettes claires et flammées, ce qui fait définitivement oublier la construction d’origine. Une porte de garage à l’ancien dépôt de munitions et des baies vitrées sous la terrasse, abritant buanderie, atelier, cuisine d’été, le tout prend un charme véritable et il y fait incroyablement frais. On restaure les marches pour descendre à la crique en scellant une nouvelle main courante en inox, il ne reste plus qu’à égayer le jardin de plantes aimant l’ombre, le sable et l’acidité : cyclamens, mélisse, palmiers nains, rhododendrons et azalées. Un peu de gazon bleu d’Espagne augure d’une future pelouse entre maison et mer.
On fait le déménagement avec l’aide de Gilbert Mudat, bien rétribué pour cela, Pascal étant en pleins examens de fin d’année. Les épreuves du brevet les occupent pas mal, alors que les travaux du golf mobilisent Karine et Julie. Toute cette folle période se calme durant l’été. Les filles peuvent emménager et profiter pleinement de leur nouveau logis, clair, très agréable et avec une vue splendide. Même l’exigeante Karine ne tarit pas d’éloges. Les quarante-huit panneaux solaires, ...
... même chinois, produisent assez d’électricité pour alimenter la maison et faire une substantielle revente à EDF. Les vacances arrivent et sont les bienvenues. Jérôme consacre tout son temps et toute son énergie à son épouse, ses parents et son fils. Pascal ne fait guère que passer à la villa, parfois accompagné d’une certaine Ondine, jolie jeune fille qui porte bien son nom et passe le plus clair de son temps dans la mer et à bronzer sur la plage, peu encombrante donc. Quant aux parents, la proximité fait qu’ils viennent passer une journée de temps en temps, mais ne restent pas dormir. Julie reprend des forces, des couleurs et de l’envie, offrant à son époux de mémorables et fougueuses étreintes.
C’est l’automne venu, trois mois après la traditionnelle pendaison de crémaillère, que les filles invitent le couple à dîner. Dans les derniers rayons du couchant, Karine prend la parole. Comme à son habitude, c’est elle qui est à la manœuvre dans les grandes occasions.
— Maintenant que nous avons un nid douillet et confortable, en grande partie grâce à vous, nous avons développé d’autres envies. Le souhait très féminin de maternité.
— Oh ! Bien, s’exclame Julie ! Je vous imagine bien avec un bambin…
— Oui, mais voilà, pour nous la chose semble a priori impossible. Il nous faut recourir à la PMA, procréation médicalement assistée. Renseignements pris, c’est une galère. D’abord, on vous bourre de chimie pour provoquer des pontes ovulaires importantes, ce qui est généralement très ...