1. à Saint-Geôly


    Datte: 13/06/2022, Catégories: ff, ffh, fffh, amour, revede, Oral pénétratio, couple, Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe

    ... c’est vous qui êtes seule juge.
    — Donc, accepteriez-vous d’être mon témoin, telle était ma demande ?
    — Je ne vais pas vous demander huit jours de réflexion. C’est oui, bien sûr, et j’en suis très honoré, comme de votre confiance.
    — Sachez Monsieur que Karine est en train de faire la même demande à votre épouse, pour elle.
    — Ha ha ha ! Ce n’est pas vrai ! Donc, si j’ai bien compris, un tout petit comité à quatre ?
    — Exactement.
    — Comme nous, il y a trois ans de cela. Nous n’avions rien à cacher, mais n’étant plus de première jeunesse, moi divorcé, Julie avec un grand enfant, inutile de traverser Saint-Geôly en klaxonnant à tout va. On a fait cela avec mes beaux-parents, tous les cinq, ma belle-mère m’a servi de témoin et Julie, son père. Pascal, le fils de Julie, était le photographe de la cérémonie.
    — Je vous remercie énormément, Monsieur, je ne doutais pas vraiment, mais ça me rend très heureuse.
    — Alors, dites-moi, que souhaitez-vous que l’on vous offre pour cette occasion ?
    — Rien, surtout rien ! Il s’agit juste d’une belle journée à passer avec des gens sympathiques que nous apprécions réellement, juste sceller notre bonheur et faire en sorte que, en cas de pépin pour l’une, l’autre ne soit pas démunie, à la rue ou exclue de toute succession.
    — D’accord, mais accordez-moi cependant une chose, c’est moi qui invite pour le repas de noces, j’ai une bonne adresse.
    — Chéri, j’ai un scoop !
    — Éventé, j’ai le même, je suppose. Tu vas être témoin d’un mariage… ...
    ... particulier ?
    — Exact. Tu as donc vu Marie-Jo ? Elles avaient bien coordonné leur affaire.
    — Elles sont tout sauf sottes.
    — C’est vrai. Comment est-elle, cette Marie-Jo que je ne connais pas ?
    — Un canon, comme Karine, mais aussi brune que l’autre est blonde, et une collaboratrice précieuse.
    — C’est bien ça, elles sont super ! Karine m’a demandé, comme je connais bien le maire, d’arranger les modalités avec lui. Ça risque de le secouer, pépère ! Ah, au fait, je les ai invitées pour samedi soir, histoire de faire connaissance, moi avec Marie-Jo et toi avec Karine.
    
    Les deux filles arrivent à la villa vers dix-huit heures, histoire de profiter du paysage et des derniers rayons du soleil. Marie-Jo, qui ne connaissait pas, reste bouche bée un long moment.
    
    — Sapristi ! Quelle merveille ! Où que le regard se porte, tout est magnifique… Ce n’est pas fatigant à la longue ?
    — Content que ça vous plaise. Non, ça va, on s’habitue bien. Vous voulez visiter ?
    — Et comment !
    — Moi aussi, ajoute Karine. Je ne connais que le rez-de-chaussée.
    — Allez-y, crie Julie du coin cuisine, je m’occupe du dîner.
    
    Ils montent au premier et visitent les deux suites et la terrasse qui les fascine. Puis Jérôme les conduit au second, leur montrant la vue depuis la chambre de Pascal. Ils redescendent, mais les filles souhaitent admirer le coucher de soleil depuis la terrasse. De dos, ces deux silhouettes d’une exceptionnelle beauté inspirent Jérôme qui court chercher son Nikon. Il fait une série en ...
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