De la vierge à la salope (suite) (1)
Datte: 13/06/2022,
Catégories:
Hétéro
Auteur: tarbenero, Source: Xstory
... traitement me fit perdre toute retenue. La main de mon amant atteignit ma chatte, son doigt écarta mes petites lèvres, s’insinua dans mon con tandis que son pouce branla mon clito. Je jouissais comme une folle et je voulais de la bite, mais Albert continua à jouer avec mes sens. Il me voulait suppliante, réclamant sa queue, réclamant cette pénétration que je lui avais refusée si longtemps.
Il défit sa ceinture et baissa son pantalon. Je restai bouche bée devant la taille de son braquemart.
Je m’en saisis et pus à peine en faire le tour. Il n’avait pas menti. Sa bite était telle que je l’avais imaginée. Longue, épaisse, avec un gland énorme. En manque depuis un mois, je salivai devant ce braquemart, bien plus gros que celui de Norbert. Mes tétons se mirent à bander, ma chatte me démangea. Cependant, malgré l’envie de me faire baiser qui me tenaillait, j’eus encore des scrupules. Mais il était trop tard et allongée sur le lit, la chatte offerte, je m’abandonnai.
Albert approcha sa bite de mes lèvres :
— Suce-moi!
Je n’eus qu’un instant d’hésitation. J’en avais trop envie. Je me laissai tomber à genoux, m’emparai de sa pine. Je lui léchai le gland. Il était énorme et je l’imaginai me forçant la moule ou le cul. J’en jouissais d’avance. J’engloutis la bite d’Albert. Mes mâchoires distendues me firent mal, mais je m’appliquai à bien le sucer. Mes lèvres coulissèrent sur sa colonne, ma langue le caressa, je lui léchai les couilles. J’essayai de l’avaler le plus ...
... loin possible, mais sa taille impressionnante m’empêcha d’aller jusqu’au bout. Sa queue glissa sur ma langue, jusqu’à la luette, puis la faisant ressortir, je lui aspirai le gland tout en le branlant. Albert ne put se retenir longtemps à ce régime, il se mit à jouir brusquement, me lâchant de longues giclées de foutre que j’avalai avec délice. Il semblait ne plus pouvoir s’arrêter. Ce sperme qui m’emplit la bouche, glissa le long de ma gorge et me déclencha un premier orgasme.
Albert ne fut pas calmé pour autant et sa queue était restée raide.
— Mets-toi à quatre pattes, je vais te défoncer la chatte.
— Oui mon chéri, viens me prendre avec ta grosse pine, baise-moi à fond, j’en ai trop envie.
Il ne demandait que cela. Il s’installa derrière moi. Son gland appuya sur mon minou. Je sentis son mufle forcer l’entrée de ma chatte, mes lèvres s’écartèrent sous sa poussée. Bien que très excitée et malgré la mouille qui lubrifiait ma connasse, il eut du mal à me pénétrer. Il procéda par petits coups de reins, écartant à chaque fois un peu plus les parois de mon vagin. Enfin, il fut tout en moi. Je sentis ses couilles sur mes grandes lèvres. Il arrêta un instant ses mouvements pour m’habituer à sa taille. Ma chatte épousait étroitement les contours de sa bite. J’étais comblée. Son zob m’emplit toute, je ne fus plus qu’une chatte autour d’une pine. Albert commença à limer doucement, se retirant complètement avant de me renfiler à fond. A chaque fois, je ne pus retenir un ...