1. De la vierge à la salope (suite) (1)


    Datte: 13/06/2022, Catégories: Hétéro Auteur: tarbenero, Source: Xstory

    ... pu le remettre à sa place, le renvoyer, mais quelque chose m’en empêchait, et ceci l’encouragea. Il fallait dire qu’il m’excitait.
    
    J’eus beau lui dire que j’aimais mon mari, que je ne voulais pas le tromper, en bon dragueur, il contra tous mes arguments.
    
    Nous savions tous deux, inconsciemment, comment cela allait finir.
    
    Tous les prétextes étaient bons pour me caresser, me toucher. Quand il me lavait la tête, il me massait longuement. Ses mains étaient douces, je les imaginais me caressant, et je mouillais. Parfois, le jet atterrissait sur mes seins et Albert s’empressait de m’essuyer avant que j’aie pu réagir. Ses mains s’attardaient sur ma poitrine plus qu’il n’était nécessaire. Je laissais faire et ma chatte, elle, réagissait. Je savais qu’un jour, malgré toutes mes résolutions, je lui cèderai.
    
    Ce jour-là, il fut plus insistant que d’habitude. Au fil des mois, il avait pris des libertés. A chaque fois qu’il passait derrière moi, il s’arrangeait pour me frôler. Il s’arrêtait un moment pour faire un commentaire sur la coiffure de ma cliente et je ne sais s’il bandait en permanence, mais à chaque fois je sentais sa queue entre mes fesses. Je n’en pouvais plus. Dès que la cliente fut partie, je lui proposai de venir le lundi suivant à la maison. Pour marquer son accord, il me prit dans ses bras, sa bouche se posa sur la mienne et sa langue força mes lèvres.
    
    Ce premier baiser marqua ma capitulation.
    
    Le jour J était arrivé.
    
    J’hésitai longuement sur la manière ...
    ... de m’habiller et de me maquiller. J’allais replonger dans mes fantasmes, il y avait longtemps que je me comportais comme une bonne épouse fidèle, trop longtemps. Il me fallait une bite. J’optai pour un maquillage provocant, qui agrandissait encore ma bouche. Jupe courte, chemisier noué sous les seins, pas de dessous, hormis porte-jarretelles et bas.
    
    Plus l’heure avança, moins je fus à l’aise. Je commençai à regretter d’avoir cédé, d’avoir mis de côté mes bonnes résolutions (ne pas mélanger sexe et boulot). J’étais décidée à dire à Albert que je ne voulais plus, mais mon corps disait le contraire.
    
    A l’heure dite, il fut là. Je n’eus pas l’occasion de lui dire quoi que ce soit. Il me prit dans ses bras, sa bouche se posa sur la mienne, sa langue força mes lèvres. Je m’abandonnai, soulagée de me laisser guider.
    
    Il me porta jusqu’à la chambre, sans qu’un mot n’ait été échangé.
    
    Albert me renversa sur le lit. Dans ce mouvement, ma jupe se releva, dévoilant ma chatte dénudée. Albert passa un doigt sur mon con.
    
    — Salope, tu n’as pas de culotte et tu es toute mouillée, tu es déjà prête.
    
    Il avait raison, malgré mes réticences de dernières minutes, j’étais prête. La salope reprenait le dessus, s’offrant sans pudeur. C’était vrai, je mouillais et ma chatte s’ouvrit.
    
    Mon amant s’empara à nouveau de ma bouche, sa langue força mes lèvres et je la suçai comme une bite. Sa main parcourut mon corps, pinçant mes tétons et les tordants. Je suis très sensible des seins et ce ...
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