De la vierge à la salope (suite) (1)
Datte: 13/06/2022,
Catégories:
Hétéro
Auteur: tarbenero, Source: Xstory
Norbert était rentré de son service militaire. J’étais un peu bloquée. Plus de sortie à la recherche de beaux mecs bien membrés. Cela me manquait. Maintenant que j’avais découvert ma personnalité profonde (j’aimais le sexe, moi qui étais arrivée vierge au mariage), j’avais envie de baise.
J’avais besoin de quelqu’un pour m’aider dans mon salon de coiffure. Je passai une annonce dans un journal spécialisé, et ne voulant pas être dérangée pendant mes jours d’ouverture, je fixai un rendez-vous aux personnes intéressées pour le lundi.
Le jour dit, j’attendis mon futur employé(e).
Ce fut un défilé, filles, garçons et ne fus pas emballée. La porte s’ouvrit à nouveau et je sus tout de suite que ce serait lui: grand, brun, beau gars. Il était vêtu d’une chemise blanche qui mettait son teint mat en valeur, et d’un pantalon tellement moulant que l’on distinguait nettement sa bite.
Pendant qu’il me présentait son CV, mon regard ne quitta pas le renflement au niveau de sa braguette. Je m’étais jurée de ne pas mélanger plaisir et travail, d’autant plus que cet employé serait amené à voir mon époux, mais...
Albert, c’était son nom, se rendit compte de l’effet qu’il me faisait et continua à parler de sa voix grave et sensuelle.
Je me ressaisis et lui demandai de faire une démonstration de son savoir. Il entreprit de me laver la tête; ses mains étaient douces et ses gestes caressants. Je me laissai aller. Dans la position où j’étais pour le shampoing, il put voir que je ne ...
... portais pas de soutien-gorge. D’ailleurs sous ses caresses, mes tétons se dressèrent, tendant mon chemisier. Je sentis ma chatte s’ouvrir.
L’essai fut doublement concluant et je l’embauchai aussitôt. Je savais qu’il allait me baiser un jour où l’autre.
Je fis des efforts d’élégance, mais, sans m’en rendre compte, je fus dans la provocation. Jupes courtes, chemisiers transparents et très décolletés, talons hyper-hauts. Et bien sûr pas de dessous, si ce n’est bas et porte-jarretelles. Toujours très maquillée.
Albert ne s’y trompa pas. Dès le début, il ne cessa de me faire des compliments sur ma beauté et mon corps splendide.
Je le laissai dire, plutôt flattée. Mais, comme je prenais ses paroles à la blague, il s’enhardit peu à peu.
Ses allusions devinrent de plus en plus précises. Il me complimentait sur ma bouche de pipeuse, mon cul qui ferait bander un mort.
Il s’arrangeait toujours pour me frôler. Il me disait ce qu’il avait envie de me faire: me bouffer la chatte, les tétons, le cul.
Il ne pouvait pas ne pas savoir que toutes ces paroles m’excitaient. Le soir à côté de Norbert qui dormait, je pensais à tout ce qu’il m’avait dit. Je voyais sa langue m’écarter mes petites lèvres, s’attaquer à mon clito, et je jouissais sans avoir besoin de me toucher.
Albert s’enhardit, devant mon manque de réactions et se fit de plus en plus direct. Me vantant la taille de son sexe. Son leitmotiv était : « quand on y a goûté, on ne peut plus s’en passer ».
J’aurais ...