1. Solstice


    Datte: 10/06/2022, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Iovan, Source: Hds

    ... et des « Moi ! ! moi !».
    
    Je profitai de ce qu'ils étaient occupés, pour déclencher, discrètement, la caméra.
    
    Je passai de l'un à l'autre, alors qu'ils commençaient à ôter leurs vêtements, caressant une paire de fesses, un bras, une joue, un sexe déjà dressé bosselant un slip, donnant un baiser furtif, me laissant caresser, effleurer, essayant de masquer la fièvre et l'impatience qui m'habitaient.
    
    Ils furent bientôt tous nus, leurs beaux mandrins orgueilleusement dressés, impressionnants. Je me promenai lentement parmi eux, affectant de ne rien ressentir, alors que je sentais les ondes d'un désir impérieux me nouer le ventre et les reins. Je leur souriais, les effleurant, posant une main sur une épaule, plongeant mon regard dans leurs yeux. Je les excitais... me laissant admirer, regardant le désir monter dans leurs regards... je me sentais une vraie salope... et j'adorais ça... Le string de mon maillot en était trempé.
    
    Je minaudai :
    
    — Qui veut bien me porter jusqu'au lit ?
    
    Dans un brouhaha soudain rigolard, ils se proposèrent tous.
    
    — Prenez-moi tous !
    
    Ils m'entourèrent, intimidants, m'enlevèrent comme un fétu de paille, et me déposèrent sur la couche.
    
    Je m'y allongeai, le cœur battant à tout rompre... Dans un souffle:
    
    — Déshabillez-moi... !
    
    L'un d'entre eux défit le nœud du minuscule soutien-gorge, alors qu'un autre faisait glisser mon string le long des cuissardes, profitant pour m'embrasser le mont de Vénus.
    
    J'étais nue, offerte et les ...
    ... invitai, bras ouverts...
    
    Ils furent là, se pressant autour de la couche... je les contemplais, les caressai. Leurs sceptres dressés, turgides, magnifiques disaient leur impétuosité et leur impatience ; l'énergie sexuelle, la puissance virile qui émanait de ce cercle magique me subjuguait.
    
    — Vous êtes beaux ! Embrassez-moi !
    
    Le plus proche se pencha sur moi, j'accueillis sa bouche, sentant sa langue me fouiller, avec une force contenue et passionnée, en même temps qu'il pétrissait mes seins. Je luis rendis son baiser avec douceur, j'avais empoigné son beau sexe tumescent, alors que je sentais des lèvres se poser sur mon ventre, mes seins, le haut de mes cuisses, l'un d'entre eux se mit à me sucer les doigts. Je trouvai cela délicieux... Sensation qui fut vite engloutie, dans le tourbillon d'émoi que ces mâles en rut faisait naître en moi.
    
    — Embrassez-moi, Ooh... ! Caressez-moi... Encore... !
    
    J'étais affolée de désir, de tension lubrique et de fébrilité... Aucune parcelle de ma peau n'était négligée par leurs lèvres et leurs attouchements. Avec des soupirs, des râles, ils me dévoraient de baisers, de lèchements et d'étreintes impatientes.
    
    L'un d'eux embrassait ma main avec dévotion, alors que j'étreignais ses belles couilles avec lascivité. Leurs mains accentuaient leurs caresses, électrisant chaque partie de mon corps, effleurée. Une tension presque palpable, exacerbée par ce que les corps exhalaient en soupirs, en râles lubriques d'impatience, en mots crus ...
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