1. Solstice


    Datte: 10/06/2022, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Iovan, Source: Hds

    ... leurs giclées de semence sur tout mon corps, trempant mon ventre, mes seins, mon visage, glisser le long de mon cou, inonder ma nuque.
    
    Mes cheveux étaient poisseux de plusieurs décharges.
    
    Celui qui me baisait me pistonnait maintenant, avec toute la puissance de son gros mandrin, me noyant dans une houle de volupté, qui ne fit que s'accroître, quand il accéléra ses va-et-vient.
    
    — Aah ! Petite pute... que t'es belle ! Tiens... Tiens !... Je vais te faire jouir, moi... !
    
    Je râlais, gémissais mon bonheur, dans cette tempête de jouissance folle.
    
    Je le sentis s'enfoncer encore plus profondément, dans un dernier coup de reins plus violent, accentuant mon orgasme, il déchargea tout son sperme en moi. Je sentis ses giclées chaudes de foutre, jaillir au fond de mon ventre, alors qu'un autre me noyait la bouche, d'un flot de semence visqueuse, au goût âcre et enivrant.
    
    Je me rendis compte que je griffai profondément le ventre de celui que j'étais en train de sucer, éperdue de jouissance.
    
    Mon visage était couvert de sperme, et quand le gars eut fini d'éjaculer son flot de foutre dans ma bouche, je ramenai du plat de l'index et du bout des doigts, tout ce que je pouvais de l'épais liquide blanchâtre qui maculait mes yeux, mes joues et mon menton, dans ma bouche avide, sous le regard ébahi des hommes.
    
    J'étais insatiable.
    
    J'éructais des mots sans suite, les suppliant :
    
    — Oooh !! Encore... ! Encore... chéri... donne-moi... Encore... ! Oooh ! S'il te ...
    ... plaît...! Encore... !
    
    Un autre amant avait pris la suite et enfoncé son gros chibre au fond de mon ventre, il me possédait avec une vigueur forcenée, enfonçant son boutoir avec violence, ébranlant tout mon corps, me faisant hurler.
    
    A un orgasme, succédait un autre. J'étais ballottée dans un océan de jouissance.
    
    Je me sentais assaillie, pressée par la fureur possessive de mes amants, et j'aimais cette sensation. Me sentir voulue, espérée, désirée, et possédée par tous ces mâles m'emplissait de fierté, de désir, me comblait d'une joie sauvage et pleine ...
    
    Je voulais qu'ils me baisent, encore et encore, je voulais encore engloutir leurs merveilleuses queues dans ma bouche, et je voulais qu'ils y jouissent, encore et encore... je voulais pétrir leurs belles couilles taurines, empoigner leurs splendides mandrins et les caresser, les branler encore et encore...
    
    Il fallait qu'ils me possèdent, et je voulais les posséder.
    
    Pendant qu'un puissant gourdin me fouaillait, une main se posa sur mon visage englué de sperme, et m'essuya légèrement, puis une bouche m'embrassa la joue, à petits baisers. Je lâchai le mandrin que j'étais en train de sucer, et me tournai légèrement, pour sentir cette bouche se poser sur la mienne, et m'embrasser avec passion. Un des gars osait m'embrasser la bouche, malgré... Son baiser me transporta, j'en gémis de volupté.
    
    Je l'entendis me chuchoter :
    
    — Que tu es belle, salope... !
    
    Et de réitérer son baiser, tout aussi passionné. A tâtons, ...
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