Cabine 13
Datte: 10/06/2022,
Catégories:
Hétéro
Auteur: Gerald93, Source: Xstory
... l’étroit dans cet Aréna pourtant très élastique. Je retire une bretelle, puis l’autre, fais glisser le une pièce jusqu’au ventre. Libérés, je les tends vers son regard et je me cambre fièrement. Tout en me disant à nouveau « Arrête ça gamine », je vois sa main se lever et prendre de l’élan pour me gifler. Je tourne la tête pour en amoindrir la puissance de son geste. Le temps s’arrête à nouveau...
Pas de gifle. Lorsque je rouvre les yeux, la main punitive de Didier est à quelques millimètres de mon téton. Son regard est maintenant sur cette poitrine que je lui offre. Son autre main vient se placer en symétrie de la première. Paumes ouvertes devant mes deux globes gonflés, il reste sans me toucher. C’est moi qui dois avancer pour qu’enfin la chaleur de ses mains mette définitivement le feu à nos sens.
A partir de là, tout s’emballe. Il me plaque sur le mur, me pétrit les seins, les embrasse avec trop de précipitation à mon goût, puis descend. Il tire sur mon maillot, le fait glisser le long de mes jambes. Je repousse la porte du pied en m’en débarrassant, plongeant ainsi la cabine dans la pénombre. Didier plonge aussi, sa tête entre mes cuisses, que j’écarte bien volontiers. Sa langue parcourt mon coquillage tout lisse. Les deux porte-manteaux solidement ancrés dans le mur de chaque côté de ma tête deviennent des poignées. Je m’y accroche pour soulever mon corps, dos au mur, cambrée pour lui offrir un peu plus mon intimité. Il prend alors mes jambes sur ses épaules, ...
... se relève et ma fente vient s’ouvrir naturellement devant son visage. Ses coups de langue deviennent plus précis, et plus profonds. J’ai noué mes mollets derrière sa nuque. Ses mains me soutiennent les fesses et me les caressent.
Il me déguste et pendant qu’il s’applique à lécher mes lèvres « du bas », je me mords les lèvres « du haut » pour ne pas gémir.
Mes bras tétanisent, toujours accrochés aux porte-manteaux. Didier abandonne sa dégustation et se passe maintenant mes jambes autour de son torse en me maintenant les reins. Je peux enfin lâcher et me tenir à lui. Mes seins se plaquent sur ses joues. Par-dessus la porte, j’aperçois les deux derniers nageurs prendre l’escalier de sortie. Didier me laisse glisser lentement le long de son T-shirt. Je sens les plis du tissu effleurer mon minou ouvert. Par à-coups, je descends. La lourde porte de sortie vient de claquer. Nous sommes seuls. C’est heureux, car je viens de m’empaler sur sa verge tendue et je ne peux, cette fois, retenir mes cris. Il me laisse encore descendre et son membre et n’en finit plus de me pénétrer. J’ondule sur lui. Pour la première fois, je devine une grimace sur son visage. Il me plaque contre le mur, me lâche un peu plus. Je sens alors son gland me taper le fond du vagin. J’ignorais d’ailleurs qu’il y avait un fond. Il défourre et refourre lentement et bien à fond.
Doucement mais sûrement, je m’abandonne à ses va-et-vient et très vite, je ne peux retenir l’orgasme qui me secoue de la tête aux ...