La mère de mon amie - Histoires de Sexe

La mère de mon amie

... mon petit chéri.
— Non, je suis célibataire.
— Tu as déjà fait l’amour avec tes copines ?
— Euh, juste des petits câlins, des caresses, des bisous.
— Je vois, eh bien mon chouchou, on va s’occuper de ça, tu veux bien ?
— Mais Catherine, et Guy ?
— Ne t’inquiète pas, mon chéri, ce sera notre secret à tous les deux. Quand nous serons tous les deux, ce sera comme si j’étais ta copine, ça t’intéresse ?

Elle s’approcha de moi, me prit des mains le tissu que je reniflais quelques secondes plus tôt puis elle me plaqua sa culotte sous le nez. Son parfum m’enivra et je sentis mon cœur battre très fort jusque dans mon sexe qui était déjà très dur et je me sentis très serré dans caleçon. Elle retira sa culotte de mon visage, se pencha, déposa un baiser sur mes lèvres, prit ma main et me tira pour me faire monter les escaliers et m’emmener dans sa chambre. Elle ferma la porte par un tour de clé derrière moi, tira sur le nœud de la ceinture de sa robe de chambre qui s’écarta automatiquement pour laisser apparaître une nuisette violette dont la broderie laissait voir sa peau qui sentait si bon et je pouvais voir ses seins si gros. Elle me demanda de m’asseoir au pied du lit, je m’exécutai sans discuter tant j’étais impressionné. Elle glissa ses mains sous sa nuisette, saisit les côtés de son tanga pour le faire glisser jusqu’à ses chevilles, le prit dans sa main droite et vint me le coller sous le nez. Je sentis son intimité toute chaude et le tissu, mouillé de son excitation, et ...

... elle me dit :

— Alors elle sent comment, celle-ci ? En plus, elle est humide, mon chéri, c’est que tu me fais de l’effet, mon chouchou, toi aussi tu m’excites. Que crois-tu, à chaque fois que je sentais mes sous-vêtements souillés par ta semence, je les reniflais aussi, je les léchais pour te goûter, je me suis même caressée avec mes culottes sur le nez en t’imaginant me prendre, mon chéri.
— J’adore ton odeur, Chantal, j’aime ton parfum.
— Ouiiiiii, mon chéri, je vois que tu es tout excité, ta queue est bien dure, dit-elle en me la caressant de sa main gauche.

Puis elle laissa tomber son tanga sur le sol, me prit la main gauche pour l’amener sur son sexe lisse, se pencha pour m’embrasser langoureusement, et nos langues partirent dans une danse folle. Elle se recula pour reprendre son souffle :

— Humm, tu sens comme je suis mouillée, c’est toi qui provoques ça !
— Oh, c’est si doux et chaud.
— Tu aimes toucher la chatte de ta Chantal ? Hummm, tu es un petit coquin, mon chouchou. On va bien s’amuser tous les deux.

Elle saisit mon caleçon par les côtés et le fit glisser jusqu’à mes chevilles, j’étais toujours assis au pied du lit. Elle m’embrassa à nouveau follement et s’agenouilla entre mes cuisses.

— Hummm, elle est belle et bien raide cette queue, elle sent bon aussi, si Guy en avait une pareille, je serais la plus heureuse. On t’a déjà sucé, mon chéri ?
— Sucé non, branlé oui, pendant mes vacances.
— Et tu as aimé ?
— Ouiii.
— Alors tu vas adorer que ...