La mère de mon amie - Histoires de Sexe

La mère de mon amie

... la journée pendant nos vacances et je trouvais toujours prétexte pour aller aux toilettes en passant par la salle de bain pour y piquer soit une culotte, soit un tanga, soit un soutien-gorge (d’ailleurs du 100C), même d’être tombé sur des bas, des guêpières, etc., elle avait une très belle lingerie. Je me branlais dans tout ce qui appartenait à Chantal tant elle me rendait dingue. Comme je ne me faisais pas choper, je prenais confiance, je me branlais et laissais toujours un souvenir. J’espérais secrètement qu’elle s’en rendrait compte, mais toujours en redoutant sa réaction. Donc j’appréhendais, quand j’arrivais chez Catherine, de me faire attraper pour une remontée de bretelles. Mais rien.

Un jour où j’étais venu voir mon amie, ne nous rendant pas compte de l’heure, il se faisait tard lorsque Chantal descendit nous voir pour me dire :

— Seb, j’ai appelé tes parents et comme il est tard tu vas rester dîner et dormir ici. Je te ramènerai demain matin en partant au boulot, comme c’est à côté de chez toi. En plus Guy n’est pas là ce soir et je n’aime pas conduire de nuit.

Je ne pus que dire oui, mais que je précisai que je n’avais pas de vêtements pour dormir, ni de change. Elle me répond que ce n’est rien, elle trouvera bien un tee-shirt et caleçon à me prêter.

Le dîner terminé, nous descendîmes au sous-sol avec Catherine et nous installâmes dans le grand canapé, qui me servira de couchage pour la nuit, pour regarder la TV. Chantal et le petit frère de Catherine ...

... restèrent au rez-de-chaussée pour regarder un autre programme. Arrivée à une heure assez tardive de la soirée, Catherine étant déjà couchée depuis un petit moment, j’étais seul dans le canapé. Je tournai la tête quand je vis une panière de linge propre à portée de main. Je me levai et commençai à fouiller dedans. Vu l’heure je pensais que tout le monde était couché. Je fouillai dans le panier et je reniflai les vêtements et les sous-vêtements de Chantal. Je glissai ma main dans mon short et commençai à me caresser le sexe qui durcit dès qu’il sentit l’odeur de Chantal. Quand soudain une voix qui me fit sursauter, me dit :

— Mes sous-vêtements sales ne te suffisent plus, mon petit cochon ? Tu veux souiller mes culottes propres ? Tu es un petit vicieux, mon petit Seb !

Chantal se dressait derrière moi, vêtue d’une chemise de nuit en satin noir qui faisait encore plus ressortir ses formes.

— Euh, mais…
— Parce que tu ne crois pas que je ne m’étais rendu compte de rien, quand même ? J’ai tout de suite compris que c’était toi, dès la première fois.
— Mais ?
— Mon fils est encore trop jeune et Guy ne me touche plus, alors de là à se soulager dans mes sous-vêtements. Il ne restait plus que mon petit chouchou pour remplir mes culottes, mes tangas, mes sous-vêtements, mes bas et collants.
— Euh, je suis désolé, Chantal, je ne recommencerai plus.
— Ah non ! mon chouchou, j’espère que tu vas continuer. Tu as une copine ? Ce n’est pas ma fille qui va t’apprendre grand-chose, ...