1. La mère de mon amie


    Datte: 08/06/2022, Catégories: fh, fplusag, jeunes, Voyeur / Exhib / Nudisme entreseins, facial, Oral Auteur: Sebas45, Source: Revebebe

    ... je te suce, mon chouchou. En plus, toi aussi tu mouilles, et tes couilles sont grosses, j’adore, c’est excitant, dit-elle en frottant ma bite sur son visage.
    
    Elle la renifla, lui fit des bisous et se mit à la lécher sur sa longueur en me malaxant les couilles. Elle releva la tête pour me regarder, me fixer droit dans les yeux, en même temps, et je vis ma queue disparaître dans sa bouche. Elle avala mes 18 cm sans hoqueter, elle les ressortit, me sourit et reprit sa fellation, tantôt en mode gorge profonde, tantôt en mode succion pour m’aspirer le gland toujours en me massant les couilles. Je ressentais des sensations de dingue et j’étais en train de réaliser mon fantasme, ce qui augmentait mon excitation. Après une dizaine de minutes de ce traitement et je sentais que j’allais exploser.
    
    — Oh ouiii, Chantal je vais venir, je vais jouir, c’est trop bon, j’adore.
    — Ouiii, mon chouchou, viens ! jouis dans ma bouche ! Je suis ta petite copine, ta petite coquine, viens, ton sperme est si bon et ta bite si délicieuse !
    — Hummm, ouiii, c’est trop bon !
    
    Je ne pus tenir bien longtemps et je jouis en lui remplissant la bouche, même si quelques jets atterrirent sur son visage, qu’elle s’empressa de retirer avec ses doigts pour ne pas en perdre une goutte. Elle avala tout en ronronnant.
    
    — Hummm, j’adore ton sperme, mon chéri, et chaud il est meilleur, dit-elle en me nettoyant la queue avec tendresse, mais tu es déjà en train de durcir mon chouchou. Hummm, je sens qu’on va ...
    ... bien s’amuser.
    
    Elle se releva, m’embrassa fougueusement, me fit sentir le goût de mon sperme que je ne trouvai pas désagréable. Elle fit glisser sa robe de chambre sur le sol et fit coulisser les bretelles de sa nuisette pour que celle-ci finisse à ses pieds. Je la voyais nue pour la première fois et mes rêves les plus fous devenaient réalité.
    
    — Qu’en penses-tu ? Je te plais ?
    — Oh ouiiiiii, j’adore ton corps, tes seins, ton cul, ta peau.
    — Alors, caresse-moi, suce mes seins, malaxe-les bien. Tu aimes mes tétons ? Regarde comme ils sont durs.
    
    Je m’exécutai, pris un sein dans chaque main pour malaxer chacun sans ménagement et elle aimait ça. Je lui suçais les tétons qui étaient bandés, les mordillais, sa respiration s’accélérait de plus en plus. Je l’entendis couiner. Ma main droite glissa entre ses cuisses pour titiller sa petite chatte, j’humidifiai mes doigts avec sa mouille pour caresser son clito durci. Je la sentais faiblir et ne tenant plus trop sur ses jambes, me serrant contre sa poitrine, elle me tenait ses seins pour que je les suce, pendant que mes doigts se frayaient un chemin dans son conduit d’amour. Où je commençais un léger va-et-vient ce qui la fit couiner en de plus belle en laissant partir de grands jets de cyprine sur le parquet.
    
    — Hummm, tu es doué, mon chéri, j’adore sentir tes doigts dans ma chatte ! Tu m’excites horriblement, mon chouchou. Tu aimerais la goûter ?
    — Oh que oui !
    
    Elle s’allongea sur le lit, écarta ses jambes et m’invita à ...
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