1. À Paris


    Datte: 03/06/2022, Catégories: fh, fplusag, oncletante, grossexe, amour, Oral pénétratio, fsodo, init, rencontre, Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe

    ... toi de jouer. Mais sois délicat, ne casse pas ta poupée…
    
    Je m’enduis de gel, essayant de contenir mon excitation pour être moins dilaté, mais rien à faire. Depuis une heure que je joue avec son trou du cul, je suis au paroxysme du désir. Je retire le gode et je me présente aussitôt. Je la laisse reculer vers moi, contrôlant son éventuelle douleur. Elle aspire fort entre ses dents et cloc ! Le gland rentre d’un coup.
    
    — Boule numéro 7, rugit-elle d’une voix contrite. C’est gros, très gros, mais c’est moins dur et agressif que le plastique. Et puis c’est chaud… Et puis c’est toi…
    — Tu te rends compte, Gwen ? Je te sodomise !
    — Ouais, en clair t’es en train de m’enculer, quoi. Bon, c’est pas tout ça, mais j’suis pas rendue au bout, moi.
    
    Je la laisse encore faire à sa vitesse, et je fais bien parce que je n’aurais jamais osé aller aussi vite.
    
    — En fait, c’est comme un accouchement, commente-t-elle, une fois que la tête est passée…
    — Comme si tu avais déjà accouché.
    — C’est ma mère qui disait tout le temps ça.
    — Si elle te voyait !
    — Oh là là… Quoique, si on est là, c’est bien parce qu’ils ont baisé, nos parents.
    — C’est sûr, mais c’est pas par là qu’on fait des enfants.
    — Non, mais c’est quand même bien la contraception du pauvre depuis des siècles.
    — Tu crois que je peux bouger maintenant ?
    — Allez, vas-y !
    — Oh, putain ce que c’est serré… Gwen, c’est délicieux mon amour…
    — Comment t’as dit ? J’ai cru entendre « mon amour » ?
    — Je crois que je me suis ...
    ... trahi… Gwen, je t’aime ! Je t’aime !
    — Et il a fallu que tu m’encules pour me dire ça enfin !… J’y crois pas. Moi aussi, je t’aime. Et il fallait que je t’aime très fort pour que tu me déflores le cul alors que tu as la plus grosse queue de tous les hommes que j’ai connus. J’suis vraiment folle…
    — Caresse ton bouton, je m’occupe de tes seins.
    
    On arrête de parler, mais ce temps de conversation lui a permis de s’habituer à cette prodigieuse invasion, à la dédramatiser également. Et puis cerise sur le gâteau, nous sommes éperdument amoureux l’un de l’autre. Ça, c’est une vraie bonne nouvelle. Je suis comblé. Gwen de son côté est remplie et se doigte gentiment le bouton, provocant à chaque fois une contraction anale que je reçois en direct. Délicieux.
    
    — Continue comme ça, chérie, et tu vas me faire jouir sans même que je bouge.
    — Une autre fois peut-être, mais vas-y, bouge… Je crois bien que j’aime ça.
    
    Je bouge, doucement, puis sur toute ma longueur, puis plus vite. Sur ses encouragements, mes coups de boutoir prennent de la puissance, mon ventre se met à frapper ses fesses sur lesquelles une onde de choc se propage harmonieusement. Une certaine cadence semble lui convenir, elle ne dit plus rien et s’astique énergiquement. Puis viennent les « oh ! Oui », les feulements, les grognements, les couinements. Le gel trop doux et trop abondant ralentit la montée de mon plaisir qui pointe cependant le bout de son nez. Dans cet étroit conduit en perpétuelles contractions, je ...
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