Love, love, love... - Histoires de Sexe

Love, love, love...

... s’humidifie à la caresse des petites lèvres ouvertes et s’amuse de la sensibilité de mon clitoris bandé.

— Chérie ? Tu es là ?
— Oui, oui, pardon, je t’écoute, ne t’arrête pas.
— Tout ça me conforte vraiment dans mon besoin d’aller travailler en Afrique cet été. Je sens ma vie se dessiner au contact du monde. Je me sens devenir un citoyen du monde, ma place est là. Je crois que je suis né pour aider les autres. Je ne sais pas si c’est dans mes gênes, c’est probablement inscrit en moi depuis ma naissance.

J’ai mis le téléphone sur haut-parleur, posé à côté de moi sur le lit. Mes doigts rentrent, ressortent, me baisent, excitent, agacent, violentent mon petit bouton devenu si gros. Mon autre main passe fébrilement sur mes seins, empoigne fermement l’un, puis l’autre, étire les tétons jusqu’à la douleur. Je ne peux retenir un gémissement.

— Tout va bien, bébé ?
— Oui… j’ai envie de toi.
— Tu… tu te…
— Oui. Ça te gêne ?
— Non, continue.
— Et toi ?
— Tu voudrais ?
— Oui, s’il te plaît.
— D’accord. J’ai baissé mon boxer.
— Tu es dur ?
— Oui, je suis sacrément bandé.
— J’ai envie de ta queue.
— Moi de ta bouche, ton cul.

Mes doigts glissent le long de ma chatte, et tout en l’investissant régulièrement pour soulager leur faim dévorante, ils se rapprochent et s’aventurent vers mon petit trou vierge.

— Tu sais, j’aurais aimé, enfin tu aurais pu si tu voulais, me la mettre…

Mon index effleure cette partie de chair à la fois douce et dure. Il ...

... l’apprivoise tendrement, lui fait goutter la liqueur, conséquence des délices qu’il a prodiguées à un autre orifice. Mon muscle se laisse séduire et accepte de goûter une phalange. La boîte de Sodome est ouverte. Profitant de l’instant de plaisir provoqué par son entrée, mon doigt fait mine de se retirer avant de pousser un peu plus loin sa conquête. Mon cul est envahi, il se délecte d’avoir perdu la bataille, et subit avec bonheur les assauts répétés de mon index conquérant. Mon minou en manque d’action crie famine, et demande le renfort de mon autre main qui abandonne sans remords mes seins endoloris et mes pointes rougies.

— Dis-le-moi, s’il te plaît.
— J’aurais aimé que tu m’encules.
— Encore…
— Je veux que tu m’encules. Que tu me défonces le cul.
— Oh, putain, bébé, je vais, je vais…

Mes doigts s’enfoncent en rythme, dans les profondeurs de mes entrailles. Mon majeur a pris la relève de mon index, trop petit, trop court. Je me défonce les deux trous. Ma langue s’approche du téléphone, espérant laper une queue qu’elle a tellement aimé caresser. Roméo grogne, râle. La vision de son foutre arrosant toute la pièce, giclant comme une fontaine intarissable m’emmène au bord du précipice.

Le porte s’ouvre, Estelle rentre dans la chambre.

— Oh pardon, excuse-moi !

Je redescends violemment.

— Euh, chéri, je te rappelle.

Je coupe la communication et tente de reprendre une position à peu près digne.

— Désolée, je ne voulais pas vous… interrompre.
— Non non, ...