Confinement
Datte: 01/06/2022,
Catégories:
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pénétratio,
Partouze / Groupe
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Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe
... cette chose « maillot ». C’est essentiellement de la ficelle avec quatre petits triangles isocèles de tissu bleu, deux qui cachent tout juste les aréoles de ses seins, un qui couvre difficilement son buisson d’astrakan et surtout, le plus coquin à mon goût, celui très étroit qui relie la ficelle ceinture et disparaît entre les fesses.
— Ça te plaît, me demande-t-elle ?
— Tu as acheté ça rien que pour m’agacer le polichinelle ?
— Non… Mes aréoles sont très sensibles au soleil et me font mal souvent. C’est pour les protéger. Mais si accessoirement tu trouves ça mignon, j’en suis ravie.
Mignon, le mot est faible. Des images me viennent soudain de cette petite nana en dessous affriolants et talons hauts, elle doit être sublimissime. Vivement que ce putain de virus nous lâche !
Les travaux reprennent d’arrache-pied, malgré la chaleur, et personne ne ménage sa peine. L’avancée de toit est réalisée, la porte modifiée, une seconde porte ajoutée vers les toilettes. Zoé et moi creusons la fosse, Florence et Yvette enterrent le tuyau de captage, ne le laissant ressortir que sous la toiture, le long du conduit de cheminée. Aux premiers froids, nous laisserons couler un filet permanent dans l’évier pour tenter de l’empêcher de geler. Et puis nous faisons le stock de bois. D’abord, tous les déchets de construction que nous empilons à peu près jusqu’à la fenêtre. Ensuite, nous allons exploiter une zone de sapins fauchés par une coulée de neige l’hiver dernier. Ce n’est pas le ...
... bois idéal pour tenir le feu, mais faute de mieux. Début septembre, je retrouve Florence à quelques mètres de l’abri, les mains sur les hanches, le regard attentif à tout.
— Je crois que nous avons fait le maximum. C’est bien. Viens, nous allons pointer les réserves… Si j’ai bien compris, il faut compter cinq mois, de la mi-octobre à la mi-mars ?
— C’est bien ça. Mais tant qu’on pourra, on descendra à la supérette s’ils sont approvisionnés.
— Donc ça nous fait cent cinquante jours, trois cents repas. Protéines : soixante boîtes de sardines, donc trente repas ; trente boîtes de thon donc trente repas ; pareil pour le corned-beef et les saucisses, soixante repas. On en est à cent vingt. Les confits, dix repas, le jambon sec, je compte vingt repas, il fait huit kilos, cent grammes par personne. On est à cent cinquante. Paquets de viande séchée, trente ; bocaux de tripes, dix ; pâtés divers, terrines, rillettes, dix ; maquereaux sous différentes formes, vin blanc, escabèche, pilchard, trente ; bocaux de tripes, dix…
— Top ! Déjà comptés.
— Ah oui, excuse, je raye. Donc… deux cent trente. Maintenant les plats cuisinés : cinq coucous et cinq paellas, dix cassoulets, dix langues de bœuf sauce madère et on est à deux cent cinquante repas. Il en manque trente…
— On a aussi notre poisson séché.
— Oui, environ cinq repas, mais je gardais ça en secours. Côté légumes, je crois que tout va bien, grâce à l’ermite. On a à peu près trente kilos de patates, soit trente repas, des ...