1. Confinement


    Datte: 01/06/2022, Catégories: fh, ff, fhh, ffh, fffh, fbi, jeunes, copains, grosseins, forêt, Voyeur / Exhib / Nudisme intermast, Oral pénétratio, Partouze / Groupe délire, aventure, Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe

    ... pas que nous amuser. Les travaux avancent, mais il me faudrait des planches pour faire les portes et des étagères, et aussi un tas de petites choses utiles. Des clous, des vis, nous en trouverons au supermarché. Mais pour les planches, il faut faire une expédition nocturne, et il faut deux costauds pour les porter. Donc obligatoirement Zoé et moi. Par sécurité, nous décidons de partir avant la nuit, quitte à attendre le calme dans la vallée pour agir. J’aime bien me retrouver seul avec cette grande nana. Oui, je suis amoureux de Flo, mais j’ai toujours eu un faible pour Zoé. Et puis l’amour avec elle, c’est un véritable corps à corps, une lutte pour le plaisir. C’est d’ailleurs ce que nous faisons pour passer le temps, cachés dans le bois qui borde la petite route. J’ai repéré une scierie qui a l’air abandonnée à l’entrée du premier hameau. Mais l’est-elle vraiment ? Le propriétaire est-il mort ou confiné ailleurs ? Les herbes folles commencent à l’envahir et je n’ai vu qu’un atelier et pas d’habitation. Mais il y a des fenêtres à l’étage. Bureaux ou logement ? Et puis il y a les chiens, nos pires ennemis. Ils ont beau être enfermés, au moindre bruit suspect ils se mettent à gueuler et à réveiller tout le voisinage, ça nous est déjà arrivé en passant le pont.
    
    Nous avons fait le plein des batteries de nos frontales en moulinant plus d’un quart d’heure, donc nous avons au moins une heure de lumière chacun. Je l’utilise à la main, les doigts devant le réflecteur, juste pour ...
    ... ne pas buter dans un obstacle. Sur le coup de onze heures et demie, tout est absolument calme. Nous y allons. On n’entend que des chouettes ou des hiboux qui semblent se répondre. Nous entrons dans la cour en passant sous la grosse chaîne qui la clôture. Ce qui nous intéresse, c’est la troisième pile à gauche, des planches d’un mètre sur deux centimètres d’épaisseur environ, du sapin ou de l’épicéa. Je commence à charger la claie de Zoé. Nous n’avons pas pris les sacs, juste l’armature et des sangles. Les planches ne sont pas lourdes, prises une par une, environ trois kilos. Mais cinq planches, c’est déjà quinze kilos. Je lui en mets sept, elle affirme que je peux continuer. J’arrête à dix, c’est déjà énorme, et je sangle. C’est à ce moment que nous entendons un bruit de moteur et voyons une lueur de phares sur la route. Plongée derrière les tas de bois.
    
    Maintenant c’est une lumière bleue tournante qui court sur les murs de l’atelier. Les flics ! Justement à la recherche de « pillards » comme nous. On aura beau dire qu’on aurait bien voulu payer, entre le viol du confinement et le vol de marchandise, on est bons pour le gnouf. Nous n’avons pas dû laisser de traces, ils sont passés très lentement, mais ne se sont pas arrêtés, comme on en avait l’impression. Du coup, la charge de Zoé est bancale. Je lui pose sa claie, équilibre le tout et sangle en serrant de toutes mes forces. Chance peut-être, la lune montre le bout de son croissant, plus besoin de lampe. Je lui fais signe ...
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