Confinement
Datte: 01/06/2022,
Catégories:
fh,
ff,
fhh,
ffh,
fffh,
fbi,
jeunes,
copains,
grosseins,
forêt,
Voyeur / Exhib / Nudisme
intermast,
Oral
pénétratio,
Partouze / Groupe
délire,
aventure,
Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe
... :
— Tu vois comme les choses se font bien, chuchote-t-elle. C’est un jour béni des dieux !
Sensation inouïe de son joli corps complètement enroulé autour du mien, de sa bouche offerte, de ses seins, ses fesses, sa chatte disponibles. Je flotte au paradis, entre épuisement et excitation. Pour rester très discrets, elle me tourne le dos, s’encastre contre moi et va chercher mon sexe pour l’enfiler dans sa grotte délicate. Je la serre contre moi, cramponné à ses seins. Nous mettons très, très, très longtemps à jouir en bougeant le moins possible, et nous nous endormons l’un dans l’autre. Je crois que je n’ai pas eu le temps de rêver. C’est le jour, filtré par la toile de tente, qui m’a tiré des nimbes, et peut-être aussi un petit coup d’air frais sur le visage. Elle n’était plus là, une fermeture de la tente était restée entrouverte. Des pas légers, elle revient une serviette sur l’épaule, se retourne pour fermer la tente et poser ses tongs. Elle se glisse près de moi.
— Tu es sortie toute nue ?
— Pourquoi ? Tu es jaloux ?
— Non, mais tu n’as pas eu froid ?
— Je ne suis pas frileuse, je t’ai dit. Je suis allée laver mon abricot. Il sentait un peu fort et j’ai envie que tu le goûtes…
Avec une incroyable souplesse, elle se met en boule sur le côté, fait demi-tour et m’enfourche, présentant son intimité à mon visage étonné tandis qu’elle s’attaque à ma toilette matinale. Courageuse, la fille, parce que si sa foufoune sentait fort, ma queue ne doit pas ressembler à ...
... une rose dans la rosée matinale. La faible lumière me permet d’admirer sa fleur avant d’y plonger le nez. Elle a réussi à faire son demi-tour sans même effleurer la toile et elle est plaquée contre moi, ses seins durcis sur mon ventre, ses fesses largement écartées. Je peux me régaler en toute facilité, sauf que parfois le souffle me manque, tant elle s’amuse bien avec mon service trois-pièces.
Je lui rends la pareille en suçant son clitoris dilaté et en étalant sa mouille tout autour de sa grotte, jusqu’à sa rosette. Elle aussi est marron, un petit disque discrètement boursouflé, rayé très régulièrement du centre aux bords, avec un trou de 33 tours et pas de 45. Un de ceux qui n’ont jamais dû voir passer autre chose que ce pour quoi il est fait. Je suis curieux de le caresser à coup de langue. Ça la fait réagir, elle halète et abandonne un instant sa tétée. Je continue en glissant un doigt dans son vestibule et le pouce sur son clitoris, la pince qui réjouit les dames. Ses ongles rentrent dans mes cuisses. Mais j’ai une main libre, sais-tu ma belle, et mon index va tenter de pénétrer dans la caverne d’Ali-Baba. Mon index va-et-vient, de plus en plus loin, je le mouille régulièrement. Elle agite son popotin, souffle fort, puis redresse et retourne la tête, essayant de m’attraper la main. Comme elle n’y parvient pas, elle éloigne ses fesses du danger et fait à nouveau demi-tour, rampant sur moi.
— T’as pas le droit, chuchote-t-elle à mon oreille.
— Pourquoi ?
— Parce que ...