1. Soumis par le père de ma copine. (2)


    Datte: 27/05/2022, Catégories: Gay Auteur: Arouse, Source: Xstory

    ... précédente éjaculation.
    
    — Tu es un gendre très dévoué.
    
    Je laissais sa voix chaude m’envoûter tandis que je m’abandonnais entre ses mains. Il continua à me parler :
    
    — Parle-moi de tes fantasmes.
    
    Son autre main était descendue vers mes fesses, et d’un doigt, il se mit à enfoncer mon anus. Il était encore douloureux de ma leçon de baise. Gémissant à nouveau, je lui dis d’une voix soumise :
    
    — Depuis que notre rencontre, mes fantasmes sont incontrôlables.
    
    Philippe continuait d’explorer mon corps tout en me masturbant.
    
    — C’est normal. Est-ce que tu fantasmes sur d’autres hommes.
    
    — Parfois...
    
    — Qui cela.
    
    — Mon patron.
    
    Philippe eu un sourire et me dit :
    
    — Décris-le moi.
    
    — C’est un soixantenaire, pas très grand, presque chauve, pas très sympa. Un vrai connard en fait. Han.
    
    Philippe avait pressé son gland dans l’intérieur de mes fesses. C’était aussi bon que douloureux.
    
    — Et pourtant il te fait envie.
    
    — Oui.
    
    — Pourquoi.
    
    — Je n’en sais rien. Han !
    
    La queue de Philippe progressait en moi.
    
    — Tu voudrais qu’il te prenne.
    
    Philippe imprimait à présent de lents mouvements avec son bassin. Pour toute réponse, je gémis, les yeux toujours clos, concentré sur sa voix et les sensations. Je sortis ma langue de ma bouche et Philippe vint la suçoter un peu en m’enculant. Il reprit :
    
    — Tu veux sentir sa grosse verge de patron ?
    
    — Oui.
    
    Philippe avait accéléré le rythme et me branlait avec insistance. Je haletais de plaisir :
    
    — ...
    ... Tu sens comme il te prend, de sa bonne queue de patron arrogant.
    
    — Oh oui, je la sens bien, oh oui, oh oui, oh !
    
    Ouvrant les yeux, je jutais dans un râle sonore, éjaculant dans l’eau, me laissant aller à mon extase. Je restais un moment dans les bras de Philippe, sa queue en moi et sa main toujours agrippée à mon sexe. Il me laissa me reprendre mon souffle avant de libérer mon fondement de sa virilité. Il sortit de l’eau et tout en s’essuyant, me dit :
    
    — Voilà qui était stimulant.
    
    Je me contentais de secouer la tête, incrédule. La soirée passa bien vite et je finis par rejoindre ma chambre. J’avais en tête une myriade de questions, l’idée de dormir seul m’était donc agréable. Je me sentais plus satisfait et comblé que je ne l’avais jamais été, et je m’endormis vite, le corps dévoyé par les plaisants sévices infligés par Philippe. Le lendemain était le dernier jour. J’étais attablé, buvant un verre d’eau, sentant la fin approcher, n’ayant que peu d’appétit. Philippe s’en enquit :
    
    — Souhaites-tu manger quelque chose ?
    
    — Pas vraiment.
    
    Il hocha la tête, puis il se leva pour venir à ma hauteur. Il ouvrit alors sa braguette et me présenta son membre. Cette soudaineté me surprit, mais je pris immédiatement le chibre en bouche, qui gagna bien vite en dureté. Mon beau-père glissa les mains dans ses poches, admirant son gendre s’activer sur sa queue. Il me laissa profiter un bon moment de son anatomie, me donnant des petites tapes sur le visage quand je lui donnais ...