1. COLLECTION FOLLE DU CUL. Maryse au temps de sa jeunesse (1/1)


    Datte: 26/05/2022, Catégories: Première fois Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    ... connaissant mal la perfidie des hommes qui se posaient surement sur mon cul ou sur mes seins commençant à pointer.
    
    14 ans, je me caressais tout le temps le clito, je jouissais chaque fois.
    
    Je vais vous choquer, je me masturbais même en classe.
    
    Dans mon lit, je me caressais et je m’enfilais des objets de plus en plus gros.
    
    À notre époque on aurait dit que mon sexe était végétarien, car je me suis introduit des légumes de plus en plus gros.
    
    Si l’on me demande si j’ai eu des douleurs, comme le disent la plupart des jeunes vierges, la réponse est non.
    
    J’aimais les carottes surmontées de préservatif qui m’évitait des brisures qui m’auraient posé problème.
    
    « Maman, j’ai une carotte dans la chatte et un morceau est cassé à l’intérieur.
    
    Allo docteur, non, allo papa... »
    
    Carotte, capote, courgette, capote, concombre, capote, aubergine, capote.
    
    Pour faire la ratatouille, l’aubergine, c’est bon, mais dans ma chatte j’ai reculé.
    
    Les bananes avec leur peau, c’était bien, car rigide.
    
    Par-dessus tout, espiègle, j’aimais les remettre au fond de la corbeille à fruits ou papa les dégustaient le matin suivant au petit déjeuner, en ôtant la peau bien sûr.
    
    Je parle fréquemment de mon père médecin, il avait une particularité, il se baladait toujours nu chez nous.
    
    À quinze ans, aucun garçon embrassé, mais mon vagin avait déjà connu ces légumes et fruits de plus en plus gros.
    
    Il va sans le dire que mon pucelage était le dernier de mes soucis, mais à la ...
    ... première occasion j’espérais m’en débarrasser officiellement devant les copines.
    
    L’année de mes quinze ans, donc, je suis partie avec Noémi notre gouvernante comme l’on disait dans ces années-là, dans sa famille en Normandie.
    
    Là encore dans ces temps-là, c’est au bal du village que Tonio à la sortie d’un slow langoureux m’a mis la langue.
    
    Premier baiser, baiser maladroit, en arrivant à en être émouvant.
    
    À ce moment, j’ignorais que c’était le premier d’une longue série.
    
    Comme on va le voir au fil de l’histoire de ma vie, conté par Chris71, le nombre d’amants en plus de Claudio celui que je vais très vite vous présenter ont été légion.
    
    Un garçon qui saute des filles est un don Juan, une jeune femme faisant pareil est une salope.
    
    J’ai aimé être une salope et à 67 ans, je revendique encore le droit d’en être une.
    
    La nature m’a donné une chatte, comme on l’a vu, j’ai très vite découvert qu’un trou était fait pour être comblé et j’ai toujours trouvé un braquemard assez dur pour le faire.
    
    Premier baiser avec Tonio et cinq jours plus tard, « couché dans le foin avec le soleil pour témoin » comme le chantait madame Mireille à la télé, il a commencé à me caresser la poitrine et les premiers bisous dessus.
    
    Mes seins s’étant développés, à cette saison des fraises, mon copain aimait les déguster.
    
    Je découvrais qu’étant titillé, elles devenaient dures à m’en faire mal.
    
    Mon minou a connu ses premières caresses et c’est le sexe de Tonio que, pour la première ...