1. COLLECTION FOLLE DU CUL. Maryse au temps de sa jeunesse (1/1)


    Datte: 26/05/2022, Catégories: Première fois Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    ... réglée vers douze ans.
    
    J’étais à bonne école, mon père étant médecin et je pouvais avoir atteinte malgré ces années-là à une certaine littérature même si par moments j’avais du mal à en saisir certains termes.
    
    Malgré ces décalages, j’ai rapidement compris, comment se faisaient les enfants et mieux qu’un sexe féminin hormis cette fonction de procréation se doublait d’une possibilité de plaisir.
    
    À quelques semaines de là, à lire ces livres sous mes couvertures avec une lampe de poche, j’ai vu un sexe dessiné ou toutes les parties du mien étais différent.
    
    Grande lèvres, petites lèvres, là ça a déjà bloqué avec en plus le pubis montré avec des poils, mon sexe était recouvert d’un duvet blond.
    
    Que dire de l’urètre ou mon vagin que la nature m’avait semblé oublier ?
    
    J’ai volontairement omis de parler de mon clitoris, que lorsque j’ai approché la glace grossissante de maman prise sur sa table à maquillage, je l’ai trouvé.
    
    J’avais peur de me faire prendre et de recevoir le martinet que mon père me promettait dès que je déviais de la route qu’il me traçait.
    
    Il me le promettait sans jamais pour autant le voir et bien sûr encore moins le sentir, mais dans ces âges-là, il était facile que je le crois.
    
    Le clitoris des femmes, toutes celles de vous qui lisez ces lignes, savent l’importance, qu’il a tout au long de notre vie.
    
    Clito ou vagi, impossible pour moi de dire dans quelle catégorie je peux entrer au crépuscule de ma vie.
    
    Les deux fonctionnent ce qui ...
    ... a fait de moi la femme considérée comme une salope, par certains ou certaines ayant le cul froid.
    
    Mais revenons à ma jeunesse vers mes 14 ans, mon père étant médecin, celles qui se disaient, mes copines évitaient de venir chez moi.
    
    Un médecin, c’est l’homme des maladies et surtout des piqures !
    
    Sans être riches, nous étions aisés et nous avions une gouvernante normande.
    
    Normande dans tous ce que ce mot peut engendrer.
    
    Comme leurs vaches, elle avait une croupe en rapport de la cuisine qu’elle aimait m’apprendre à faire.
    
    Lait, crème, farine, œufs, nous faisions de bons gâteaux dont je m’empiffrais.
    
    Si depuis que je la connaissais, sa croupe restait constante, la mienne a commencé à se développer.
    
    Un matin ou mon père m’auscultait, il m’a parlé de pré-ado boulotte.
    
    C’était l’été et il m’a inscrite à un club de natation.
    
    Est-ce le régime strict qu’il m’a imposé ou du moins une nourriture plus équilibrée ajoutée aux heures de nages, ma silhouette se transformait.
    
    Mon physique visible, mais aussi la partie invisible de mon être sauf sous ma douche.
    
    Je pense à mes grandes lèvres et mes petites lèvres qui prenaient forme et ma toison qui devenait plus fournie.
    
    Donc, ma puberté avançait normalement, j’avais minci.
    
    Sur la bascule, je faisais 1 m 69 pour 52 kilos.
    
    J’étais satisfait lorsque je me promenais au bord des bassins, de voir le regard des hommes se poser sur mes jambes devenues longilignes.
    
    Je parle de mes jambes, à cette époque, ...
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