1. Les copines de ma fille


    Datte: 23/05/2022, Catégories: fh, hagé, hotel, caresses, intermast, Oral préservati, fsodo, occasion, Auteur: Nesti, Source: Revebebe

    ... préservatif et m’allongeai à côté d’elle. Je nous recouvris du drap puis la caressai doucement, pour lui laisser le temps de se remettre, de retrouver ses esprits… Au bout d’un moment Aline commença à rejouer avec mon sexe.
    
    — Tu en veux encore ?
    — Oh oui, tu es si doux, si attentionné…
    — As-tu déjà été sodomisée ? lui demandai-je.
    — Non, mais ça doit faire mal.
    — Tout à l’heure j’avais deux doigts dans ton petit trou, ça te faisait mal ?
    — Non, pas vraiment, essaie alors…
    
    Je la couchai sur le ventre, la caressant, la saoulant de mots tendres, je lui assouplis la rondelle puis entrepris de lui faire une feuille de rose… Aline jouit une fois de plus. Enfilant une nouvelle capote, je présentai mon sexe à l’entrée de son petit trou.
    
    — Pousse comme si tu étais aux w.c., lui dis-je, ma queue la pénétra sans problème.
    — C’est drôle, ça ne fait pas mal, juste quelque chose de gros dans mon cul.
    
    Je la pistonnais, lui caressais le clitoris, la sentant vibrer sous moi, longuement… Au moment où je ne pouvais plus me retenir, regrettant de n’avoir pu la mener à l’orgasme, celui-ci se déclencha, violemment.
    
    Elle se fit chatte, nous nous reposâmes, prîmes une douche ensemble, puis nous repartîmes chercher les petits…
    
    J’ai revu et baisé Aline de temps en temps, mais je crois qu’elle a vendu la mèche à des copines, car, l’autre soir, Stéphanie m’a dit :
    
    — Il paraît que vous faites bien l’amour… je suis libre mercredi prochain…
    
    J’attends ...
    ... mercredi…
    
    Stéphanie
    
    La cafétéria du Club Sportif de mon fils est gérée par une association qui s’occupe aussi de l’insertion de jeunes en situation précaire. C’est ainsi que Stéphanie s’est retrouvée derrière le comptoir de la cafète… Petite, mince, cheveux noirs coupés court, elle ressemblait à un garçon, s’il n’y avait deux petites bosses comme des mandarines au niveau de la poitrine.
    
    Petit à petit elle devint l’une des pièces maîtresses de la cafète, son sens de l’organisation, sa débrouillardise et sa bonne humeur perpétuelle lui permirent d’être embauchée. Elle traitait tous ses clients avec cordialité, surtout nous, « les vieux quadras » dont certains la draguaient sans gêne. On ne lui connaissait pas de liaison, de petit ami.
    
    Et maintenant, ce mercredi, c’est moi qui l’attendais… Elle n’était pas dans la cafète, aussi je suis allé dehors pour l’attendre. Mon portable sonna.
    
    — Monsieur Martin ? C’est Stéphanie. Je vous attends chez moi, la porte sera ouverte…
    
    Elle me donna l’adresse puis raccrocha.
    
    Je passai à l’hyper du coin chercher deux bouteilles de champagne et achetai un bouquet des fleurs chez le fleuriste. Stéphanie habitait un petit appartement sous les combles d’un vieil immeuble. Je montai l’escalier, frappai et poussai la porte… Stéphanie m’attendait, assise sur un canapé, toute nue… et plus que nue, car son pubis était rasé.
    
    — Viens t’asseoir à côté de la gamine, me dit-elle en souriant.
    
    La gamine, c’est ainsi que je l’avais nommée à son arrivée, fluette, ...
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