1. Les copines de ma fille


    Datte: 23/05/2022, Catégories: fh, hagé, hotel, caresses, intermast, Oral préservati, fsodo, occasion, Auteur: Nesti, Source: Revebebe

    ... dis-je en me couchant à côté d’elle, tout en lui caressant sa poitrine.
    
    Peu à peu mes caresses allèrent vers son nombril, son ventre, elle ouvrit son pantalon, nous le fîmes coulisser, emmenant au passage sa petite culotte. Une toison frisottée ornait son mont de Vénus. J’y déposai un baiser rapide, puis mes mains remontèrent le long de son corps, l’agaçant, la caressant… Je la redressai pour lui dégrafer son soutien-gorge, ses nichons se dressèrent, ses aréoles roses et ses mamelons étaient tout durs… Aline, à travers mon caleçon, prit ma bite dans ses mains, puis la sortit par la braguette. Elle me regarda puis, d’un coup, posa un baiser sur mon gland. Une respiration forte, puis elle ouvrit sa bouche et engloutit ma queue. Je ne cessais de la caresser, léchant ses mamelons, le creux de ses genoux, son corps maintenant couvert de chair de poule.
    
    Elle s’appliquait dans sa fellation, mais ses dents me mordillaient au passage. Je lui redressai la tête, la couchai sur le lit et continuai, de plus belle, à la caresser, guettant le moindre de ses frissons. Mes mains s’approchèrent de son sexe, traçant des cercles de plus en plus serrés autour de sa toison, elle gémissait, haletait… D’un doigt léger, j’effleurai enfin son clitoris ; elle se cabra, s’ouvrit des deux mains :
    
    — Prends-moi, prends-moi, tu es un salaud, tu me rends dingue !
    
    Je continuais mes caresses, bandant comme un cerf. Je lui enfilai un doigt, puis deux, dans son vagin détrempé… Aline n’était plus que ...
    ... houle. Puis je me suis couché entre ses cuisses, pour un cunnilingus passionné. J’avais deux doigts dans sa chatte et lui effleurai sa rosette, son petit trou palpitait… J’y enfilai un doigt, elle sursauta et partit pour un orgasme qui semblait ne plus finir. Tout en continuant à la caresser avec la bouche, je fis, nous fîmes glisser mon caleçon. J’attrapai un préservatif, le déroulai et lui demandai de me l’enfiler. Elle le fit tout en me caressant les couilles. Je me couchai sur le dos, l’invitant à me chevaucher. Elle s’enfila lentement, puis commença à se soulever, à redescendre. Sa mouille coulait sur mes cuisses, elle avait les yeux fermés, haletait, disait des mots sans queue ni tête :
    
    — C’est bon, tu es dur, salaud, tu me fais jouir, je viens, je viens, je… !
    
    Elle s’abattit, fauchée par un orgasme. Je n’avais pas encore joui. Reprenant ses esprits elle me dit :
    
    — Et vous, vous n’avez pas éjaculé ?
    
    L’embrassant à pleine bouche, je la couchai sous moi et, la repénétrant, j’entrepris de me mener, à mon tour, au plaisir, tout en la faisant jouir elle aussi. Au bout d’un moment, je sentis mon sperme qui menaçait de jaillir, je serrai les dents, et donnai de violents coups de boutoir à Aline qui, tout à coup, se cabra… un râle sortait de sa bouche et je lâchai enfin ma giclée.
    
    — Je sens ta queue tressauter en moi, tu jouis, je suis heureuse, je jouis, je jouis, arrête ! hurla-t-elle en retombant, inerte, sur l’oreiller.
    
    Je sortis de son vagin, enlevai mon ...
«1234...»