1. Les copines de ma fille


    Datte: 23/05/2022, Catégories: fh, hagé, hotel, caresses, intermast, Oral préservati, fsodo, occasion, Auteur: Nesti, Source: Revebebe

    Aline
    
    Une fois de plus, un mercredi après-midi, c’était mon tour d’accompagner mon fils à son entraînement hebdomadaire. Je m’apprêtais à passer quelques heures d’attente en compagnie d’un bon roman policier dans la cafétéria du club quand, tout à coup, une main posa un café devant moi.
    
    — Sans sucre, c’est bien ça ? me demanda une voix connue, celle d’Aline, une copine de ma fille, un peu plus âgée qu’elle.
    — Oui, sans sucre, tu connais bien mes habitudes, dis-je avec un sourire, et merci. Mais assieds-toi donc pour me tenir compagnie, car c’est long, un après-midi à attendre. Ton père n’est pas là ?
    — Non, me répondit-elle. Depuis que j’ai le permis, il me laisse volontiers conduire mon petit frère, il préfère bricoler à la maison que d’attendre ici… Et Anne (ma fille) n’est pas venue ?
    — Elle est allée à la ville voisine pour faire des courses avec sa mère.
    — Ah…, alors vous êtes seul ?
    — Oui, comme toi, mais moi j’ai mes munitions… lui dis-je en montrant le livre.
    
    Elle le prit, regarda la couverture. Une jeune femme y dévoilait ses charmes…
    
    — Mon père lit le même genre, dit-elle.
    
    Un long silence s’installa. Pour me donner une contenance, je remuai mon café. Aline rigola soudain :
    
    — Mais vous ne prenez pas de sucre !
    
    Puis, s’asseyant en face de moi, et me regardant dans les yeux, elle dit :
    
    — Vous savez, je ne suis plus vierge, mais… mais j’aimerais faire l’amour avec vous, je suis sûre que vous avez plus d’expérience que mes copains de Fac et ...
    ... comme cet après-midi nous avons le temps…
    
    De surprise, j’ai avalé mon café de travers : bien sûr que j’avais un peu d’expérience !
    
    — Mais, Aline, où penses-tu qu’on peut aller ?
    — Mais dans un hôtel, genre Formule1.
    
    Je réfléchis un moment puis lui dis :
    
    — D’accord, ma chérie, tu pars et m’attends sur le parking de l’Hypermarché Z, je t’y rejoindrai.
    
    Aline sortit, je bus un deuxième café puis quittai à mon tour la cafétéria. Dans ma voiture, je vérifiai si j’avais encore des préservatifs dans ma boîte à gants, il y en avait. Je rejoignis Aline sur le parking elle monta dans la voiture et je me dirigeai vers l’hôtel voisin. Avec ma carte bancaire, je pris une chambre. Une dernière fois, je regardai Aline et lui demandai :
    
    — Veux-tu vraiment ?
    
    Pour toute réponse elle me tendit ses lèvres. Nous rejoignîmes la chambre, Aline était debout, ne sachant que faire. Je la débarrassai de sa veste, enlevai la mienne puis l’embrassai tendrement, longuement, la caressant sur le dos, les fesses…
    
    Doucement, je l’assis sur le lit. Elle portait des brodequins à semelles compensées que je m’empressai de lui enlever, lui embrassant les orteils, Aline frissonna et ôta son pull. Son petit soutien-gorge blanc cachait une paire de petits seins… Je me relevai, me déshabillai rapidement, ne gardant que mon caleçon, sous lequel mon sexe faisait une bosse. Aline rit :
    
    — Je n’ai jamais vu un homme en caleçon, dit-elle et elle tendit sa main vers ma braguette.
    — Doucement, lui ...
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