Une fois, une fois seulement ! - Histoires de Sexe

Une fois, une fois seulement !

... confirme mon dévouement.

La porte vient de s’ouvrir. Quelqu’un entre dans la pièce et je n’ose plus bouger. Un sentiment de honte m’envahit. Quelle impression dois-je donc donner à cette tierce personne en étant ainsi exposée ? Celle d’être une femme devenue chienne, une salope en chaleur et prête à tout pour un coup de queue, une garce baignant dans la luxure. Une autre personne, il n’en avait jamais été question ! Les secondes s’égrainent, mais rien ne bouge. Aucun bruit, pas un mot, le temps semble s’être figé puis, rompant ce silence, Marc reprend la parole :

— J’aime te regarder. Ce soir tu m’appartiens et j’ai envie de te voir te faire baiser comme la salope que tu es. J’ai sorti ma queue tu sais, elle est bien raide et je me branle pour toi. Mon pote aussi a sorti la sienne et je te confirme que tu lui plais beaucoup ! Tu vas commencer par me l’embrasser en y mettant tout ton cœur, j’ai hâte de découvrir tes talents de suceuse.

Une main passe dans mes cheveux, un bâton de chair force mes lèvres que j’ouvre timidement pour l’accueillir. Le gland trouve sa place puis ressort aussitôt ; du bout de la langue, je le rattrape, le lèche et l’aspire pour l’emboucher à nouveau. La queue me paraît grosse. Vaillante et conquérante, elle va et elle vient. Je l’embrasse, elle est bonne, je l’aime déjà !

Le copain se branle en nous regardant, le cliquetis caractéristique émis par la vigoureuse masturbation ne laisse aucun doute à ce sujet. Il se rapproche. Le bruit ...

... d’un sachet de préservatif qui se déchire et une main se pose sur mon cul. La branlette n’est certainement plus suffisante, la démonstration qui lui est offerte a eu raison de sa patience. Tant mieux, je suis pressée qu’il me pénètre. Je ne sais pas pourquoi, mais c’est en sentant ce gland entrer en contact avec les muqueuses de ma chatte détrempée qu’une pensée pour mon conjoint me traverse l’esprit. Un songe très éphémère distillé dans un léger sentiment de honte qui s’envole vite pour laisser place à l’extase que me procure cette rencontre nouvelle. Ça y est, le pieu inédit doucement me pénètre. Il glisse peu à peu de plus en plus profondément pour finalement me remplir, m’extirpant un feulement d’exultation.

Alors que mon baiseur anonyme s’active de plus en plus frénétiquement, Marc, lui, me saisissant les tempes, force le rythme de la fellation que je lui prodigue. Une dextre claque à nouveau mon fessier, des grognements bestiaux de mâle en plein coït se mêlent à mes soupirs de femme possédée. Mon minou ne semble pas suffire, l’homme veut aussi disposer du cul. L’anneau vierge résiste. La tête chercheuse ressort pour revenir aussitôt à l’assaut et progresser encore. Une autre claque, un coup de reins un peu plus vigoureux et le phallus fait sa place, distendant la paroi, dilatant le conduit et m’extirpant un long râle de douleur certainement mêlé malgré tout à une certaine satisfaction. Je me sens femelle, objet de désir, sex-toy de chair et de sang. Cette sensation me ...