Une fois, une fois seulement ! - Histoires de Sexe

Une fois, une fois seulement !

... atteindre leur objectif et tendrement caresser mon bouton déjà bien gonflé d’excitation.

— Pas de culotte, c’est bien, tu es obéissante.

L’attention qu’il me témoigne m’enivre. Je ruisselle sous ses douceurs et alors qu’il commence à fouiller mon intimité, de douces lèvres se posent sur mon cou.

— Tu es terriblement désirable. Aimes-tu m’entendre te dire à quel point tu me plais ?

Je hoche doucement du cap pour lui répondre que oui.

— Ce soir je vais te baiser et tu seras mienne, mais avant, c’est mes yeux que tu vas devoir régaler. Déshabille-toi !

Délaissant mon sexe, il s’éloigne. Le raclement d’une chaise frottant le sol, c’est monsieur qui s’installe pour profiter du spectacle promis. A-t-il déjà sorti son sexe ? Bande-t-il ? Ces pensées m’obsèdent tout autant qu’elles me ravissent. Je me lève et déboutonne mon chemisier.

— Non ! Commence plutôt par la jupe pour que je puisse mater ton cul, mais surtout, garde tes escarpins.

Je dégrafe alors cette dernière qui tombe au sol, dévoilant toute mon intimité aux yeux de mon voyeur qui me dévore forcément du regard.

— Tourne-toi et place-toi à genoux sur le lit. Permets-moi d’admirer la vue, tu es magnifique !

Obtempérant, je me retrouve dans une posture outrageusement indécente, cambrée, en appui sur les avant-bras, la croupe en l’air et offerte devant ce parfait inconnu qui doit, à n’en pas douter, savourer le spectacle lui étant proposé. Je l’entends se lever, il se rapproche.

— Ce cul est ...

... une merveille, il mérite une fessée !

Sa phrase est à peine finie qu’une première gifle atterrit sur ma fesse dans un claquement amplifié par le silence régnant dans les lieux. Surprise, je me raidis. Un second heurt se fait ressentir, puis un troisième, fouettant et meurtrissant mes chairs.

— Tu ne le vois pas, mais sache que tu me fais bander grave. Ton p’tit cul de bourgeoise est délicieux. Aimes-tu me savoir excité ?

Comme convenu, un mouvement de menton suffit à lui signaler mon approbation. Il ne doit pas avoir besoin de cela : dégoulinante, ma chatte luisante et détrempée atteste à elle seule le sentiment éprouvé. Telle une bête en chaleur, je suis là sur ce lit et me surprends à dandiner du postérieur pour attiser un peu plus encore son appétit vicelard, j’aimerais qu’il me prenne. L’excitation que je pensais déjà être à son apogée il n’y a que quelques instants, monte encore en intensité, la seule chose vraiment devenue importante est maintenant de le sentir me transpercer de sa verge. À défaut, il me délaisse et m’abandonne dans cette posture dégradante. Je l’entends se rasseoir avant de poursuivre son monologue.

— Tu me plais beaucoup, mais il ne tient qu’à toi de m’exciter encore plus. C’est encore possible tu sais, accepteras-tu sans sourcilier tout ce que je t’imposerai ?

Je suis en feu ! Ses désirs sont des ordres, car mon assouvissement dépend désormais du sien. Bien sûr que je lui accorderai tout ce qu’il exigera ! Un gémissement d’exaltation lui ...