La récompense
Datte: 20/05/2022,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Alainylon, Source: Hds
... maintenant pointé dans la bonne direction, elle s’abaissa lentement et se vissa à lui. Comme un ajustement parfait de pièces faites pour s’emboiter. Elle commençait alors un aller et retour sur lui avec de grands soupirs qui secouaient ses seins dans un mouvement bercé, élastique. Puis la vue se braqua sur ceux qu’exhiber le copain. Un véritable pieu. Une lance de chair démesurée couleur bronzé. Luisante de sueur.
À genoux, il s’installa derrière Béatrice. Posément il la saisit par les fesses de manière à les écarter le plus qu’il le pouvait. Instinctivement, la fille creusa le dos pour présenter le puits froncé avec une obscénité totale et tranquille. Elle eut un feulement quand la masse du basané commença à palpiter à son entrée. Elle s’arrêta même un instant d’aller et venir sur le blond, alors que le copain poussait toujours. D’une main sur la nuque de la fille, il lui baisser la tête, jusqu’à ce qu’elle soit couchée, joue contre joue avec le blond, prosternée, docile et matée. Celui-ci voyant son compagnon hésiter, saisit à son tour les fesses de Béatrice et les écarta encore un peu plus. Distendant par ce geste, le passage, la livrant totalement sans résistance possible à l’épieu qui l’empalait.
Elle eut une sorte de rire rauque monté du fond de son ventre. Les deux mecs qui l’emplissaient se remirent sans résistance, bouche ouverte. Elle n’était plus qu’un corps possédé, abandonné, comblé.
Pensant que j’en avais assez vu je retournais jusqu’à mon sommier de ...
... maille, où je m’offris une petite récréation, et cela jusqu’à ce que le silence revienne du côté du trio. Ce fut l’instant que je choisis pour sortir, et rejoindre la surface. Sur le sol se tenait un bracelet. Sans doute appartenait-il à Béatrice. Je m’en suis saisis. Cela ferait le bonheur d’une de mes sœurs. Mais pas le temps de choisir à laquelle je lui donnerai que Béatrice déboula, et se planta devant moi en me voyant en possession de son bien. Arriva alors Jeannette, une autre fille habitant dans la quartier voisin.
Un sourire sournois s’étaient dessiné sur leurs lèvres respectives, en me voyant.
- Et bien en voila une surprise. Si je m’attendais à cela. C’est mon jour de chance. À ce que je vois tu as trouvé mon bracelet. Et je devine que tu t’apprêtais à me le remettre, c’est ça Alain. C’est gentil de ta part, tu mérites une récompense. N’est-ce pas Jeannette, qu’il mérite une récompense ?
- Si tu le dis !
Sans perdre un seul instant, Béatrice s’empara à travers mon pantalon de ma verge. Qu’elle se mit à me tordre. À y enfoncer les ongles. J’étouffais un cri de douleur. De peur d’ameuter toute la gage d’escalier, elles m‘entrainèrent jusqu‘à l‘endroit où avait eu sa relation avec ses deux copains. D’un croche pied elle m’envoya au sol. Puis me sauta dessus. Immobilisant mes bras au sol. Pendant ce temps là, Jeannette ôtait sa culotte. Et après avoir retroussé sa jupe, elle s’assit carrément sur mon visage. Il m’était pourtant facile d’un coup de reins de ...