1. La récompense


    Datte: 20/05/2022, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Alainylon, Source: Hds

    ... avec un mamelon magnifique. Que même Christiane aurait pu se coucher devant. Avec son aréole brune orangée et la pointe rouge au milieu. Longue et dure comme un crayon.
    
    - Ça ne vas pas ? Fit-elle. Vous êtes malades !
    
    - C’est que tout ce que tu nous montre est magnifique !
    
    Il en profita après ses paroles, de s’emparer de ses lèvres. Le compère, lui était passé par-derrière. Elle avait bien essayer de protester, mais avec la bouche occupée comme elle avait avec sa langue du copain il était difficile de parler. Et cela pour le plus grand plaisir des mains de Flip, qui purent en toutes innocences opérer en toute tranquillité. D’abord la ceinture tressé, puis le jean dont il fit sauter les boutons. Béatrice ne pouvait plus rien contrôler de ce qui se passer en bas de son corps. Cela ne l’empêcha pas de passer les bras autour du cou du blond. Et, d’instinct, ondula des hanches et creusa le ventre pour laisser le deuxième larrons descendre le zip de son pantalon. Ce qu’il fit très lentement sans pour autant prendre la peine de lui caresser le ventre. Sa main faisant très vite connaissance avec les poils de sa toison. Où elle s’enfouissait, épousant la courbe du pubis.
    
    Collé à la cloison immobile, retenant mon souffle, hagard je ne parvenais pas à m’arracher du spectacle qui m’était offert. Béatrice s’était très vite retrouver à demie-nue. Son jean tirebouchonné à ses pieds. Son tee-shirt remontait sous son menton.
    
    Brusquement, elle se détacha du blond et prenant ...
    ... appui sur une poubelle, s’éleva à quelques centimètres du sol, les jambes ouvertes à angle droit.
    
    - Léchez-moi ! Commanda-t-elle. J’adore cela !
    
    Tête renversée, yeux révulsés, elle offrait son entrejambe ouvert à qui le voulait. Une fourrure rêche et épaisse qui remontait haut entre ses fesses, voilant de son ombre ses reins.
    
    La tête du blond et celle de Flip se rencontrèrent presque à l’intersection de ses cuisses. Bouches perdues dans la broussaille que j’imaginais très très odorante. Où lors salive se mêlaient à l’humidité de la fille. Le basané s’était enfoui dans le profond sillon de sa croupe dans laquelle il cognait de la tête comme s’il avait voulu y disparaître tout entier.
    
    Béatrice se mit à pousser de petits cris de souris qui finissaient en roucoulement. J’avais l’impression que mes yeux allaient tomber par terre. Le ventre de Béatrice se creusait et se gonflait alternativement comme une vague dans l’orage. Son nombril rentrait et sortait. Ondulant comme dans une étrange danse lascive.
    
    Elle se dégagea, sauta à terre et saisissant le blond par le cou, le fit tomber à la reverse sur le sol de terre battue. Et très vite elle se retrouva sur lui, ses fesses volumineuses, arrondissant leurs demies sphères blancs au-dessus du membre du blond.
    
    Elle eut un mouvement de croupe qui la suréleva un instant. Le temps de passer la main entre les deux ventres pour y saisir de ses doigts arrondis l’argument viril du copain qu’elle caressa furtivement.
    
    Puis, le ...