Aldo l'homme à tout faire
Datte: 19/05/2022,
Catégories:
fh,
ffh,
voisins,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
caresses,
Oral
pénétratio,
totalsexe,
Auteur: Acajou, Source: Revebebe
... pour me remercier du dépannage, mais là, je vais retourner à mon travail.
— Mais Julia n’aurait pas dû vous déranger pour si peu. C’est vraiment gentil, Aldo, je ne sais vraiment pas comment vous remercier pour votre bienveillance constante, et légendaire.
Dans ses propos, je sens un peu la provocation. La jeune sœur est derrière la grande et sourit tragiquement en se mordant les lèvres.
— Là, il faut que je parte, j’ai encore du boulot.
Je crois comprendre que la petite sœur a provoqué la panne pour m’attirer au 36, cette petite salope aura ce qu’elle mérite dès que possible. Je m’en vais la queue basse entre les deux jeunes femmes, étant certain de revenir sur les lieux de mes forfaitures, je rêve même d’une partie à trois…
— Vous partez déjà, Aldo ? C’est dommage !
— Ben oui, j’ai encore du travail dans la résidence.
— J’ai un store coincé dans ma chambre, vous ne voulez pas jeter un coup d’œil, ça vous prendra cinq minutes, je pense.
— OK, allons voir ce store, mais c’est parce que c’est vous !
— Suivez-moi, ma chambre est au fond du couloir.
Je suis la femme, elle est grande sur ses talons, type scandinave aux épaules larges, une allure sportive avec un cul confortable, elle se déhanche un peu juste ce qu’il faut…
— Voilà, c’est là ! excusez, ma chambre n’est pas faite, je suis partie tôt ce matin.
Le lit est défait, il nous tend les bras, des vêtements de femme traînent par-ci par-là.
— Aldo, venez voir, c’est par là que ça se passe ...
... !
Je m’approche de la fenêtre ouverte, je me penche pour regarder le problème. Elle se colle contre moi pour me montrer, je me retourne, j’ai le nez dans son décolleté, elle insiste, presque maladroite…
— Vous voyez, c’est là que ça coince.
— Oui, je vois où ça coince, je reviendrai demain avec mes outils et une burette de lubrifiant.
Je me libère de ce corps à corps pas désagréable du tout, son parfum, son odeur de femme m’enivrent. Elle ferme la fenêtre, j’ai le lit derrière moi, elle me pousse, je tombe allongé, elle se couche sur moi comme pour m’empêcher de partir.
— Mais qu’est-ce que ce que vous faites ?
— Rien de mal, tu verras, laisse-toi faire, c’est tout.
Elle passe une main entre mes jambes.
— Soit tu en as une bien grosse, soit tu bandes déjà… Mais elle est toute dure ! Mais tu bandes pour moi, mon salaud !
— Mais on n’est pas seuls, y’a votre sœur !
— Ma sœur ? Elle ne se gênait pas avec son copain pendant qu’ils baisaient soir et matin. Allez, Aldo, déshabille-toi et viens !
Elle enlève sa jupe, son chemisier – elle rit nerveusement, sa jupe étroite ne veut pas descendre – puis son soutien-gorge. Sa poitrine est lourde, opulente et généreuse, ses tétons sont durcis par le désir. Elle s’allonge sur le dos, jambes franchement écartées. Elle a gardé son slip blanc, quelques poils blond roux dépassent du tissu, je peux voir qu’une trace humide a traversé le tissu blanc le long de sa fente vulvaire. Elle est à point, bien mouillée.
Je me ...