1. Du rêve à la réalité


    Datte: 19/05/2022, Catégories: hh, hbi, jeunes, hépilé, vacances, hsoumis, hdomine, cérébral, Oral hsodo, init, journal, gay Auteur: Dommi, Source: Revebebe

    ... pressions sur mon anneau vierge. Il se fige, le temps aussi.
    
    Anxieux et curieux, je ne nie pas mon envie. Ma docilité en cet instant me semble pulsionnelle. Je lui offre mon cul, ma virginité et mon esprit. Je veux qu’il me possède, qu’il jouisse de moi. Je flotte dans un état d’excitation émotionnelle intense.
    
    Le réveil est violent et douloureux. Il me fesse avec vigueur à droite, puis à gauche encore plus fort. Je hurle pour la circonstance, mais sans souffrance réelle. Je me prépare à supporter une nouvelle claque, je suis prêt à hurler simulant la douleur, mais mon cri meurt étouffé, saisi par une douleur bien réelle cette fois, fulgurante, aiguë, stridente… elle m’anéantit !
    
    Le salaud, le pervers sadique, vient de m’empaler de ses vingt longs centimètres, il s’est planté au fond de mon cul d’un seul et unique coup de pieu, ses couilles se sont fracassées contre les miennes, il reste immobile tout au fond de mon boyau écartelé, ma virginité vient de faner en un instant. La bouche grande ouverte, une larme aux coins des yeux, je reste muette, ou muet !
    
    Pas un son ne sort de ma bouche pourtant grande ouverte, le souffle coupé par une douleur difficilement supportable. Il me faut de très longues secondes avant qu’elle ne s’estompe très, très lentement.
    
    Je suis dilatée remplie, oppressée, envahie… une brûlure intense m’irradie. La sodomie donne du plaisir, fait jouir ! L’expression d’une de mes copines me vient à l’esprit « J’y crois mal, est-ce bon ? Pas du ...
    ... tout, mais alors pas du tout, du tout ».
    
    Mais le temps n’est pas à l’introspection, la petite pause au fond de mon rectum se termine. Le gros serpent se retire, il entreprend ses premiers allers et retours. Sans s’interrompre, il pose quelques noisettes de lubrifiant sur son piston, puis la machine s’ébranle. Les deux mains amarrées à mes hanches, il me pilonne. Le rythme est soutenu.
    
    Il décule presque à chaque fois, ce qui ravive ma douleur sans qu’il ne s’en émeuve. Je suis ballotté sous ses coups de boutoir, il me bourre comme une malle. J’émets des sonorités curieuses du genre joueuse de tennis agonisant dans le troisième set. Mon excitation s’est évanouie. Mon sexe ? un escargot sous le soleil du mois d’août… Quatre, cinq minutes de laminage intensif plus tard, la fin de mon calvaire est proche, un profond coup de reins claque contre mes fesses, ses couilles écrasent de nouveau les miennes. Il hurle comme une bête :
    
    — Je jouis !
    
    Sa décharge est longue. Je perçois à peine les spasmes éjaculateurs de son sexe dans mon conduit dévasté. Je m’affaisse sur le lit, les jambes pendantes hors du lit, vidée, endolorie… Quelques derniers coups de pieu pour finaliser sa vidange et, à son tour, il s’étend sur mon corps.
    
    Je n’ai pas joui… Une absence totale de plaisir, c’est certain. Les ondes sensuelles des préliminaires m’avaient offert de l’excitation… Ce plaisir prometteur dépassait très largement mes expériences hétéros passées, en revanche cette saillie douloureuse ...
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