Du rêve à la réalité - Histoires de Sexe

Du rêve à la réalité

... langue se darde comme un petit pieu… invraisemblable… je sens mon bourgeon s’ouvrir, d’une main il enserre fermement la base de mon sexe, le tire doucement… mes sens sont exacerbés par ces gourmandises voluptueuses.

— Hum… mmm oui… que c’est bon… encore.

Incroyable, je m’exprime, je réclame ce plaisir sodomite !

Une sensation de fraîcheur me saisit l’anus : il m’enduit de lubrifiant. Il a tout prévu, je repense à la pharmacie… ma naïve docilité. Il n’a jamais douté qu’il arriverait à ses fins. Quel odieux personnage, si sûr de lui, mais qu’est-ce qu’il m’excite ce salaud !

Un doigt agile masse les lèvres de mon anus domestiqué par sa bouche, fermement, puis m’effleurant… Je suis envahi d’ondes sensuelles. Je me cambre spontanément, j’écarte les jambes, je m’offre.

Je tire mon coussin, je pose la tête, mes avant-bras en soutien, je m’abandonne à ses obscénités. De la pulpe du doigt il touche le cœur de ma rosette… Un léger appui et il introduit en douceur une phalange, ressort, pénètre de nouveau, puis une deuxième… C’est maintenant un doigt entier lubrifié qui va-et-vient en moi sans la moindre résistance. Il pistonne lentement jouant à la vrille. J’ai chaud, absolument excité, j’aime terriblement ça.

— Aïe, aille, ouuuhoups.

Je sors de nom nuage, un deuxième doigt vient de faire une entrée brutale, mon érection s’efface. Malgré mes petits cris de puceau effarouché, il ne se laisse pas distraire, le duo maintient son forage. Le plaisir s’efface. La ...

... sensation de pénétration n’est pas agréable, sans être vraiment très douloureuse. Mes sphincters résistent. Je l’accepte. Un instant passe et de nouveau je m’élargis ; la sensation s’adoucit, elle redevient supportable.

De sa main libre il caresse mes fesses charnues, mes cuisses, effleure mon pénis dont l’érection naissante se développe. Ses attouchements m’affolent. « Oiauuuhh, Ooooooh » : douleur vive, un troisième occupant tente avec difficulté de m’envahir. Sensation de déchirure, terrible souffrance… mes sphincters refusent l’intrus. Il me faut plus de temps cette fois pour l’accepter. Les minutes passent. Je me dilate davantage. Ses trois doigts me pistonnent, m’alèsent… J’entends le bruit de cette pénétration humide de gel. Je m’élargis, une timide sensation voluptueuse pointe le nez.

La résistance a cédé, merci le gel ! Je me sens ouvert, dilaté. La perception est à la fois déroutante et en même temps énervante. Cette sensation est addictive, excitante, elle court de mon anus jusqu’à mon ventre, le long de mon épine dorsale. Mon sexe tendu est douloureux, mon désir s’intensifie, je pressens la puissance de ce plaisir inconnu sans en connaître les lois.

Ses doigts me quittent. Debout derrière moi, il approche sa verge de la main droite, de l’autre il beurre de gel mon conduit dilaté. Voilà l’instant redouté : je vais me faire enculer… La honte m’envahit de nouveau… la crainte… Premier coup de semonce… il guide son dard jusqu’à mon anus, son gland exerce de petites ...