Histoires de cocus (extra)ordinaires (12)
Datte: 19/05/2022,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: yannlakeu, Source: Xstory
... sûr ?
— Continue Hubert, tu peux la piner sans te biler, on va s’amuser.
Hubert, peu rassuré quand même, suspendit son mouvement de va-et-vient sans lâcher la femme pour autant, mais paré pour un repli rapide.
Je détachai donc mon cocufieur et il essaya aussitôt de m’attraper, mais un coup de coude que je lui assenai dans la mâchoire me permit de descendre de la cabine et de l’attendre. Il se rua sur moi et fut à terre, puis encore et encore. Enfin, je le rossai complètement, jusqu’à le calmer définitivement quand il vit qu’il n’aurait jamais le dessus et que la douleur commençait à le paralyser.
Alors je lui fis une clef de bras et l’approchai du couple formé par Hubert et sa femme.
— Alors, c’est qui le cocu maintenant ? Moi, qui te laisse baiser ma femme et dont tu profites comme un malpropre ou toi qui vois sa femme se faire sauter sans son accord ? Moi je dirais que le cornard, c’est Hyacinthe. Grosse queue, mais petite cervelle, prise à son propre jeu ! Mais je te comprends, c’est bon de sauter la femme des autres... très, bonne pipeuse la tienne... J’étais bien dedans...
Il gémit une insulte. Je serrai plus fortement.
Il se tut.
— Lèche le jus sur le visage de ta femme.
Il fallut presque lui casser le bras pour le forcer à le faire, mais il le fit.
— Elle est bonne ta femme, vraiment, t’as peut-être raison, meilleure que la mienne. Alors, parait que j’ai une petite bite ? Tu vois ce qu’on peut faire avec une petite queue... elle jouit ...
... ta femme, elle s’éclate, j’vais la remplir de foutre !
Et il éjacula dans la chatte pendant que je maintenais la tête du cocu le plus près possible de la croupe de sa bergère.
Bon maintenant, tu te casses, tu remontes dans ton camion et tu pars ! dis-je à Hyacinthe. Et si jamais il arrive quoi que ce soit à mes potes ou à ta femme, je saurais te retrouver et tu pourras attendre un moment avant de reprendre le volant.
Un peu groggy, il remonta dans son camion, nous frôla de près et cracha vers moi, mais sans m’atteindre.
— Te presse pas de rentrer à la maison... J’ai de quoi m’occuper maintenant, salaud ! lui cria sa femme. Moi aussi j’vais m’amuser, prendre du bon temps, fumier ! Gros porc !...
Nous rentrâmes quand les feux de la remorque disparurent complètement dans la nuit. Il était temps. Il commençait vraiment à faire frais et j’avais le cul et les épaules gelées.
L’atmosphère intérieure était plus chaude. Pourtant, on avait baissé de volume. Le Patron était encore sur ma femme ; elle, jambes repliées, les genoux à se toucher les seins, et l’autre vautré dessus à la piner à grands coups de queue. La plus jeune des autres était encore occupée avec deux gars qui la prenaient en sandwich, pendant que le reste de la compagnie trinquait à poil au bar, en riant, commentant les exploits et jouant encore avec les sexes mous des hommes ou le clito humide des femmes.
Quand il nous vit rentrer, il défonce, abandonna ma femme pour se rapprocher de Martine.
— ...