1. Sœurs


    Datte: 16/05/2022, Catégories: jeunes, freresoeur, fête, jalousie, dispute, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, caresses, consoler, Auteur: Franckosaurus, Source: Revebebe

    ... Akim qui discutent déjà entre eux. Les mecs sont en pantalon-chemisette, Marie-France en jupe cardigan bleu ciel, mules à talons blanches, et Sandrine dans une tenue similaire à sa sœur, mais en négatif : sa robe est rouge satinée (la couleur du péché), et les fleurs noires. J’embrasse tout le monde. Je me crois dans un début de partouze d’un Marc Dorcel de la fin des années 80, putain. Où qu’elles sont les caméras ? J’interroge Fabienne :
    
    — Waouh, en quel honneur tout ça ?
    — Ce sont mes parents qui offrent. En fait, on a eu des prix parce que Xavier est leur banquier, et qu’ils se marieront sans doute ici. En fait, on va manger un menu dégustation, et tester des plats pour la noce.
    — Et Akim et Marie-France ?
    — Ça, eh bé, c’est moi, je voulais qu’ils soient là. Paske grâce à toi, je suis en train de faire la paix avec Sandrine.
    — En train ?
    — C’est long, on s’engueule encore, mais on parle ensuite, on se pardonne et on s’embrasse. Ah oui, au fait, on couche ici, et demain, c’est initiation de golf.
    — J’ai rien pour me changer.
    — T’inquiètes, tu fais la même taille de pied que papa, j’ai emprunté des baskets, un short et un polo.
    — Et Steph (ma sœur) ?
    — Love de son mec, plus rien à tirer de cette meuf en ce moment, hihi !
    
    Marie-France vient me voir, grand sourire, ses yeux pétillent plus que d’habitude, elle prend ma tête avec ses deux mains.
    
    — J’ai blaguassé avec Sandrine, qui m’a raconté comment tu t’y es pris. Ah toi, si j’avais vingt ans de moins, je ...
    ... t’épouse !
    — Comment t’as fait pour te libérer ?
    — Soirée filles.
    — Rhô, la menteuse, quoique, (je chuchote à son oreille), je suis sûr que Sandrine te plaît.
    — Tu vas voir cette jolie petite biche, je vais te me la bouffer toute crue. À première vue, elle n’a pas l’air contre.
    — Peut-être qu’elle n’aime pas les filles.
    — En tout cas, elle aime quand je caresse ses fesses. C’est marrant, ça me rappelle quand je draguais en soirée étudiante, mais j’ai l’expérience en plus. Limite, c’est devenu trop facile.
    — Faut dire que quand tu fais ces yeux-là, impossible de résister. Je peux ?
    
    Et je l’embrasse longtemps sur la bouche, et goûte sa langue. Xavier est un poil surpris, au moins, s’il est pas aveugle, ça lui donne un petit avant-goût. Je le salue, malgré que là, il l’impressionne : il a dans les vingt-cinq ans, déjà une bonne situation, et des fringues de marque, malgré qu’il me rende vingt kilos :
    
    — Je suis heureux de faire ta connaissance.
    — Rassure-moi, tu ne vas pas m’embrasser sur la bouche, hein ?
    — Hihi, non, ni ta Sandrine d’ailleurs, bien que l’envie ne me manque pas.
    
    Disant cela, j’hallucine de mon aplomb, jamais je n’aurais dit ça si j’avais été encore puceau.
    
    — Ouf, je peux respirer alors. Alors comme ça, ton père bosse dans l’industrie laitière (OK, moi il s’en fout, il voit papa cadre derrière, avec sa résidence principale enfin payée, yabon prospect)
    — Oui, et il est aussi administrateur dans une banque mutualiste.
    
    Là, d’un coup, je sens ...
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