1. Les yeux fermés


    Datte: 16/05/2022, Catégories: fh, inconnu, caférestau, cérébral, caresses, préservati, pénétratio, yeuxbandés, confession, rencontre, Auteur: Ludivine de la Plume, Source: Revebebe

    ... bouche, se fit plus légère pour parcourir mes lèvres. Mon sexe pulsait entre mes jambes et je sentais la cyprine couler le long de ma cuisse. Le sien s’appuyait contre mon ventre et j’aimais le sentir dur contre moi.
    
    Il s’approcha de mon oreille et murmura d’une voix très douce :
    
    — J’ai très envie de toi, Pénélope, tu le sens ?
    
    Je répondis sur le même ton :
    
    — J’ai très envie que tu me baises, Florent, tu le sens ?
    
    Ce furent presque nos seules paroles.
    
    Nous ne parlâmes plus quand il m’enleva mon caraco de soie pour effleurer de la paume de sa main la pointe de mes petits seins érigée par le désir. Quand il se pencha pour en mordiller le bout. Plus fort. Puis plus fort encore. Mes soupirs et mes gémissements seuls le guidèrent quand il souleva ma jupe et toucha ma fente trempée du bout de ses doigts, puis en entra un avant de le humer et de le lécher, ce que je devinai aussi clairement que si je le voyais faire.
    
    Quand je détachai sa ceinture et sortis de son pantalon sa queue tendue, quand j’en caressai le gland du plat de ma paume, nous ne prononçâmes pas un mot.
    
    Mais quand il s’agenouilla pour m’enlever ma culotte puis commença à me lécher, je l’interrompis :
    
    — Non. Je veux que tu me baises maintenant.
    
    Et j’ajoutai, faussement contrite :
    
    — Sans te commander.
    
    Arrivée à un certain point d’ébullition, j’ai besoin d’une chose et d’une seule et cela peut parfois me rendre impérieuse…
    
    Il ne s’en formalisa pas et me répondit :
    
    — Comment tu ...
    ... veux que je te baise, Pénélope ?
    — Baise-moi exactement comme tu veux, mais baise-moi s’il te plaît, sinon je crois que je vais mourir, furent mes dernières paroles avant qu’il rie, puis me retourne contre le mur, dispose mes mains en appui sur les pierres froides et me caresse les fesses, s’attardant sur leur sillon et sur leur entrée puis appuyant sur mes reins pour les cambrer. Puis il s’interrompit le temps d’enfiler un préservatif, tout en caressant mes épaules de ses lèvres. Ces quelques secondes d’attente me parurent un supplice interminable, pendant lesquelles je sentais mon bassin onduler spontanément et ma chatte s’ouvrir encore dans l’attente du plaisir à venir.
    
    Mais je me tus.
    
    Plus un mot ne fut prononcé quand il approcha sa queue de mon orée, me caressa tout doucement de son gland tandis que je commençai à trembler d’impatience, me fit attendre, me tantalisa, joua avec mon clitoris et mon envie d’être pénétrée, rentra juste le bout, puis le retira. Encore et encore.
    
    Mais je criai quand il s’enfonça enfin jusqu’à la garde et s’immobilisa tout au fond en m’embrassant puis me mordant la nuque. Je criai de plus belle quand il se retira, me faisant sentir toute sa longueur, puis quand il revint et répéta ce mouvement profond. Encore et encore.
    
    Je criai plus fort quand il intensifia ses va-et-vient, plus vite, plus fort, plus loin.
    
    Et j’explosai de plaisir et de jubilation quand il crispa ses doigts sur mes hanches et que je le sentis s’abandonner au ...