1. Les examens de fin d'année


    Datte: 16/05/2022, Catégories: fh, ff, jeunes, grossexe, grosseins, école, contrainte, caresses, intermast, Oral fdanus, jouet, fantastiq, Auteur: Ellian, Source: Revebebe

    ... Oui, je lui sauterais dessus pour lui faire les pires choses, il pourrait me mettre un coup sans un mot de semonce. C’est mon ultime bafouille. « Félicitations, nous en avons fini. Amusez-vous bien. » J’ai envie de dire merci, mais l’écran affiche déjà un massif « au revoir ».
    
    Une voix se fait entendre, bien qu’issue d’une enceinte, je reconnais celle de la directrice. « Ève, tu peux maintenant franchir la porte «examen». Nous t’attendons. » Cette fois, c’est parti. Mon cœur s’emballe à nouveau, j’ouvre la porte et entre dans une sorte de sas. Une porte en face avec une lumière rouge. « L’épreuve est bientôt prête, il te faut patienter encore un peu. Quand la lumière sera verte, tu pourras entrer. » L’attente est insupportable, enfin la lumière passe au vert.
    
    La pièce n’est pas très grande. Deux grandes armoires à droite et à gauche de l’entrée, remplies de jeux en tous genres. Pas de Monopoly, non. J’en connais certains, d’autres me sont parfaitement inconnus même après un an à l’école du plaisir. J’espère qu’on ne me demandera pas d’utiliser ceux-là. Si l’on m’interroge sur des trucs qu’on n’a pas étudiés en cours, je préviens, je gueule. Sur ce même mur, une deuxième porte. Les trois autres pans sont recouverts de miroirs, comme le plafond. Au milieu de la pièce : un lit rond. Sur ce lit : celui que j’ai choisi, que j’ai esquissé dans les moindres détails. En chair et en os, ou plutôt en carbone, latex, ou je ne sais quoi. Il est allongé, le sexe dressé.
    
    Plus ...
    ... un mot, plus une consigne. Bon qu’est-ce que je fais maintenant ? Je vois une caméra. Est-ce qu’on m’entendrait si je posais la question ? De peur de faire une erreur, je me tais. Je me déshabille et m’allonge sur le lit, mon corps contre le sien. Ma main va où elle a envie, effleure la cuisse ferme et plonge vers le membre, semblable à ceux des cours… si réel. Les yeux me regardent, je peux y lire l’envie. Comment est-ce possible ? La verge se dresse, de cette vigueur tranquille que rien ne peut arrêter. Il s’épanouit dans ma main, encore, encore… encore. N’ai-je pas été trop gourmande ? Les yeux plus grands… Je découvre le gland de son col protecteur. Il n’en a plus besoin, je vais le cajoler moi, ce gros bout turgescent.
    
    À genoux, mes jambes de chaque côté des siennes, je branle la bite à deux mains le plus lentement possible, plongeant mon regard dans le sien. Je pourrais l’astiquer des heures entières, mais il se contracte un peu, j’ai peur qu’il n’étanche ma soif et que je reste sur ma faim. Je glisse l’extrémité sensible le long de ma fente pour l’humecter de mon excitation. Par les ondulations de mon bassin, je caresse la tige entre mes lèvres et frotte le gland contre mon bourgeon durci. Accélérant le mouvement, je sens le plaisir s’accentuer à mesure que ma conscience se dissipe. D’un coup d’un seul, sans prévenir, en dérapage incontrôlé, toute la queue entre en moi, du moins tout ce qui peut entrer. Elle ne me fait pas regretter ma gourmandise.
    
    La surprise ...
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