Les aventures d'Aldvin le Barde (10)
Datte: 15/05/2022,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: Miss Arthur, Source: Xstory
... bouger... Je n’avais pas vu dans la pénombre qu’ils se prolongeaient par des tiges qui actionnaient leurs mouvements. J’entendais mes camarades gémir, elles étaient soumises à la même torture.
J’étais étonnée que Sourisse, en bonne maîtresse assassine, n’arrive pas à se libérer... Il était bien connu que les nains sont des experts en matière d’entrave, de bondage devrais-je dire... Nous étions condamnées à prendre notre mal en patience en attendant de trouver une opportunité de nous libérer... Autant arrêter de lutter pour l’instant, je décidai de prendre cela positivement et de me laisser porter par le plaisir. Au bout d’un temps indéfini, mais qui fut long à me faire ramoner la chatte et le cul, je finis par jouir intensément et ne pus trop crier étant bâillonnée, mais les gémissements étaient là, comme chez mes voisines d’ailleurs...
Quand nous eûmes joui toutes les trois, les machines s’arrêtèrent et la porte de la chambre s’ouvrit. L’aubergiste et sa femme entrèrent, accompagnés d’une autre naine, plus jeune.
L’aubergiste vint vers moi et me défit mon bâillon. Il présenta son sexe devant ma bouche et me força à l’engloutir. Je ne voyais pas ce qui se passait pour mes camarades, mais elles dirent que Sourisse avait eu droit à lécher la chatte poilue de la femme naine et que Mégane avait reçu en bouche la bite du jeune nain.
J’entendis soudain Mégane prononcer un sort d’immobilisation. Nos violeurs s’arrêtèrent immédiatement. J’avais encore la bite de ...
... l’aubergiste dans la bouche et dus me contorsionner pour me libérer de sa présence. Mégane avait su profiter d’un court instant de retrait du sexe du jeune nain pour lancer ce sort libérateur. Il fallait nous désentraver et la magie de Mégane aida Sourisse à se libérer. Puis elle vint nous détacher. Je pus m’extraire de ma couche après avoir libéré mes deux orifices...
— Ça va les filles, demanda Mégane ?
— Oui, dit Sourisse, heureusement que j’ai grandi depuis mon premier viol... J’ai presque pris du plaisir... Ça ira, ce n’était pas si dur que cela.
— Moi aussi, j’ai pris du plaisir, dis-je.
— Cela s’est entendu malgré le bâillon... Moi aussi j’ai aimé une partie...
— Voilà une aventure que nous ne raconterons pas aux garçons !
— Effectivement, il vaut mieux...
Nous observâmes la pièce. Des tringles en bois sortaient du mur avec à leur extrémité les olisbos. Nous n’avions pas la veille prêté attention à ces petites trappes dans les murs que nous avions pris pour de la marqueterie ornementale...
Nous bâillonnâmes et entravâmes à leur tour l’aubergiste, sa femme et le jeune nain sur nos couches, leur pénétrâmes les orifices avec les olisbos (chatte et cul pour la femme et que cul pour les hommes) et allâmes voir dans la pièce à côté d’où venaient les tringles. Une sorte de machine les actionnait. Sourisse l’observa puis trouva un levier qu’elle activa. Nos galduriens étaient maintenant galdurisés par leurs propres systèmes...
Nous revînmes à la chambre, nous ...